Brad Pitt pour Vanity Fair : 20 ans de looks et de couvertures historiques
Publié le 1 mai 2013 à 01:24
Par Christopher R.
Brad Pitt en couverture du prochain numéro de Vanity Fair. Brad Pitt en couverture du prochain numéro de Vanity Fair.
Brad Pitt fait sa première couverture du Vanity Fair en février 1995.
Brad Pitt dans le Vanity Fair de novembre 1998.
Brad Pitt en beau gosse surfeur pour Vanity Fair en décembre 2001.
Brad Pitt et d'autres stars hollywoodiennes en couverture de Vanity Fair en avril 2003.
Brad Pitt en couverture de juin 2004.
Brad Pitt en décembre 2006.
Brad Pitt et Desmond Tutu en 2007.
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Avant de séduire le public américain dès le 21 juin (il faut attendre le 3 juillet en France) avec World War Z, Brad Pitt sera en couverture du Vanity Fair à paraître pour le mois de juin. Un beau cliché où l'acteur affiche un sourire radieux. L'occasion de revenir sur les déjà nombreuses couvertures mettant à l'honneur à la star hollywoodienne.

L'histoire d'amour

Une idylle glamour et artistique qui commence en 1995, lors d'une couverture pour le mois de février. L'acteur est alors la vedette du western Légendes d'automne. Il pose la chevelure longue dans des couleurs chaleureuses, quasi étouffantes, avec une chemise légère et ouverte sur un torse presque imberbe, habillé d'un pantalon de cuir. C'est la non moins célèbre Annie Leibovitz qui se chargera d'immortaliser l'icône montante, encore juvénile, mais déjà terriblement sexy et magnétique.

Trois et demi plus tard, on prend les mêmes et on recommence. Cette fois-ci, le playboy américain, cheveux courts et marcel, est en promotion pour le film culte Rencontre avec Joe Black (1998). Il y évoque notamment sa rupture brutale avec Gwyneth Paltrow, dont il ne regrette rien. En décembre 2001, Brad Pitt surfe sur la vague et dévoile ses abdominaux bronzés en couverture de Vanity Fair, cette fois-ci capturé par Herb Ritts. Pendant qu'Ocean's Eleven cartonne, il évoquera son mariage avec Jennifer Aniston ou encore sa relation avec l'islam, trois mois seulement après les attentats du 11 septembre : "L'islam me fait vraiment flipper. J'ai juste été surpris de voir, dans une culture noyée dans la religion, la férocité avec laquelle ils s'attaquent entre eux, ces combats de rues sur de toutes petites choses. Je crois qu'on est dans le fanatisme", avoue-t-il sans concession.

En avril 2003, Brad Pitt est de retour en couverture, mais cette fois-ci à l'occasion d'un numéro spécial "faiseurs de stars, favoris des Oscars...". Il posera ainsi aux côtés de Jack Nicholson, Harrison Ford et Edward Norton. Juin 2004, Brad Pitt retrouve la couverture seul, de face, pour évoquer Troie, sa vie "monastique" pendant le tournage ou encore son cynisme envers Hollywood et les médias. La star s'émancipe. Dans les nombreuses doubles pages qui lui seront consacrées, Brad Pitt est magnifiquement photographié par Nick Knight.

En décembre 2006, Brad Pitt pose pour la première fois sans rien avoir à promouvoir. Dans un numéro dédié à l'art, il est immortalisé debout sous des trombes d'eau, torse nu, par Pavel Antonov. Dans le magazine, il est l'une des stars posant pour l'artiste d'avant-garde Robert Wilson. Acteur engagé, salué pour ses positions face à l'ouragan Katrina, Haïti ou encore l'Afrique, Brad Pitt est au côté du sud-africain Desmond Tutu en juillet 2007, pour un numéro concocté par Bono, le leader activiste de U2. En mai 2009 (pour Inglourious Basterds), puis mars 2012 (Le Stratège), Brad Pitt se voit confier deux doubles pages. Il revient donc en juin 2013, six ans après sa dernière couverture.

La production chaotique de World War Z

Par ailleurs, dévoilée en parallèle de la couverture, Vanity Fair a mis en ligne une rencontre avec Damon Lindelof, le scénariste de Lost. L'occasion de revenir sur la production chaotique du très casse-gueule projet qu'est World War Z. Ainsi, on apprend qu'après la fin du tournage, insatisfait, Brad Pitt débauche Damon Lindelof pour que celui-ci apporte son regard neutre au scénario ainsi qu'à sa transposition. Celui-ci évoque dans les colonnes de Vanity Fair l'approche de Brad Pitt, lequel lui avoue alors que World War Z a vu son tournage débuter "avant même que nous ayons validé la manière dont ça se finirait". Pitt poursuit : "La chose dont on a besoin maintenant, c'est quelqu'un qui n'est pas impliqué dans toute l'histoire, qui puisse voir ce que nous avons, et nous dire vers où se diriger."

Face à la journaliste de Vanity Fair, Damon Lindelof confie avoir livré ses quatre vérités aux producteurs ainsi qu'au réalisateur, Marc Forster. Il évoque une fin "abrupte et incohérente" qu'il va complètement redessiner en contraignant l'équipe à tourner 30-40 minutes de film en plus, retardant ainsi à nouveau la production finale, et poussant le budget à dépasser la barre des 200 millions de dollars. Ainsi, si World War Z est déjà librement inspiré du roman de Max Brooks, la fin est totalement bousculée, différente. Reste à convaincre les spectateurs...

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