Carla Bruni© Angeli
Réactualisation de 17h15 : Suite à l'information donnée ci-dessous, nous allons pouvoir juger sur "pièce" en fin de journée. En effet, notre première dame est partie ce matin à Cotonou au Benin en tant qu'ambassadrice du Fond mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose. Elle retrouvera sur place Melinda Gates, co-présidente de la fondation Gates avec laquelle Carla est en mission technique dans l'objectif de leur permettre d'apprécier sur le terrain les résultats de la prévention de la transmission du VIH/Sida de la mère à l'enfant. Les deux femmes réaliseront ensuite un plaidoyer auprès des donateurs pour la reconstitution des ressources du Fond mondial. D'après les estimations réalisées en 2007, c'est environ 1,2% de la population béninoise qui est séropositive. Le retour de notre présidente est prévu pour dans 48 heures. Nous allons pouvoir juger quelles tenues elle a décidé de porter pour ce voyage bien spécifique. L'occasion de tester de jeunes créateurs moins en vue ?
Elisabeth Quin, critique de cinéma et auteure de romans, a récemment été interrogée par le magazine de L'Optimum, en compagnie de Christian Estrosi (qui a rencontré hier la papesse de la mode Anna Wintour).
En pleine Fashion Week parisienne, celle qui est également chargée de mission pour la haute couture et le prêt-à-porter auprès du ministre de l'Industrie, s'est exprimée quant au fait que Carla Bruni, actuelle première dame de France, ait eu une carrière de top model. Elle a également soumis un conseil à l'épouse de Nicolas Sarkozy (qui s'est exprimé hier soir sur TF1).
"Lorsque Carla porte des créations de Dior ou Galliano, c'est une vitrine. Elle a ce sens chevillé au corps, c'est une évidence. Mais il serait bien qu'elle porte de temps à autre des tenues de créateurs moins établis - elle est tellement belle qu'elle peut tout se permettre -, ce serait un formidable coup de pouce pour eux", a-t-elle déclaré.
Il est vrai que l'Américaine Michelle Obama, audacieuse, sait se vêtir de tenues imaginées par de grands stylistes, mais également donner leur chance à de jeunes créateurs.
A quand Carlita en Franck Sorbier ?
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