Harry Potter : Découvrez la métamorphose de Padma Patil, la cavalière de Ron !

Afshan Azad est plus connue sous le nom de Padma Patil, le personnage de la saga Harry Potter qu'elle a incarné au cinéma. Elle est mémorable en tant que cavalière de Ron Weasley dans le quatrième volet, La Coupe de feu, sorti en 2005. Dix ans plus tard, celle qui a désormais 27 ans a bien changé !

BuzzFeed a publié des photos d'elle qui n'ont pas tardé à devenir virales ! L'actrice, qui a en effet posté des clichés sur son compte Twitter, s'amuse visiblement devant les objectifs. Face aux compliments que son allure sexy a provoqués, Afshan Azad a répondu : "Sérieusement les mecs, tout ce buzz après l'article de Buzzfeed est fou. Hilarant mais dingue ! J'apprécie vraiment, mais franchement, j'avais 16 ans quoi !"

Évidemment, quand on parle de métamorphose d'acteurs de Harry Potter, on pense à Matthew Lewis, alias Neville Longbottom. Notons toutefois que, dans les aventures du sorcier à lunettes, la petite Padma était mignonne, à la différence du personnage de Neville dont le physique était plutôt ingrat. Aujourd'hui, Afshan est bien différente : elle a grandi et elle est devenue particulièrement coquette et très maquillée. Peut-être même trop selon certains commentaires. Elle a donc publié une photo d'elle sans filtre pour prouver son potentiel aux haters.

La jeune femme semble s'être remise de l'épreuve qu'elle a dû affronter il y a cinq ans car elle fréquentait un garçon non musulman mais hindou. La cour de justice de Manchester avait jugé son frère, Ashraf (28 ans), qui l'avait attaquée violemment et durant environ trois heures. Devant ces accusations, Ashraf Azad avait plaidé coupable d'agression et de blessures corporelles. Il avait été condamné à six mois de prison. Effrayée par les conséquences, elle avait voulu retirer sa plainte : "J'aime profondément mon père et mon frère. La procédure judiciaire ne m'a apporté aucun soulagement et, si elle se poursuit, ce sera encore pire." Les raisons de son choix sont diverses et délicates, mais le juge n'a pas tenu compte de cette demande, estimant que le coupable devait être puni et qu'il fallait mettre fin au cercle infernal des crimes d'honneur.