Jennifer Lopez, sexy : A 44 ans, elle secoue son célèbre popotin dans ''Booty''

Les Miley Cyrus, Rihanna et compagnie n'ont qu'à bien se tenir car voilà que déboule Jennifer Lopez sur le rayon du twerk lascif ! Et dans ce domaine la bomba latina a de sérieux arguments à faire valoir : célèbre pour son voluptueux arrière-train, la chanteuse n'a d'ailleurs carrément pas hésité à lui consacrer une chanson, intitulée Booty ("popotin" en français), prochain extrait de son nouvel album, A.K.A, qui se veut décidément incendiaire.

Dans un micro-clip mis en ligne, vendredi 13 juin, sur son compte YouTube, la bomba latina sort en effet encore une fois l'artillerie lourde et montre de quel bois elle se chauffe : diva R'n'b aussi branchée que les dernières fashionistas hype du moment, la chanteuse y shake son booty dans des tenues mettant allègrement en valeur sa silhouette divine. Tantôt vêtue d'un body noir très court ou d'un legging moulant ses illustres fesses, Jennifer Lopez se lance en effet dans d'énergiques et impressionnants mouvements de hanches qui ne manqueront pas de rabaisser le caquet de nombre de jeunettes du show-business.

Car comme elle le suggère elle-même dans sa chanson, la star de 44 ans a bien l'intention de montrer à la relève comment les choses se passent vraiment. Après plus de vingt ans de carrière, J-Lo est loin d'être rangée des voitures, bien au contraire : la chanteuse fait encore et toujours partie des Rolls Royce du milieu parfois impitoyable de la pop. Reste à savoir si malgré tout, Jennifer Lopez n'aurait pas tendance à en faire un poil trop pour se faire remarquer et surtout pour se démarquer, quitte à friser le too much. Quoi qu'il en soit, la stratégie fonctionne ! Conviée à chanter lors de la cérémonie d'ouverture du Mondial, jeudi 12 juin à Sao Paulo, la chanteuse occupe de tous côtés l'actualité people. Mais si elle fait les gros titres, ce n'est pas uniquement pour ses projets musicaux : sa rupture d'avec son jeune danseur Casper Smart n'est en effet sans doute pas totalement étrangère à cette soudaine surmédiatisation.