Sandra, candidate de "Koh-Lanta 2014" en Malaisie.© ALAIN ISSOCK/ALP/ BUREAU233/TF1
La décision du médecin de Koh-Lanta 2014 a été irrévocable : Sandra, trop faible, a été contrainte de rentrer en France après seulement quelques jours passés en Malaisie. La participante à la première édition du jeu d'aventure de TF1, qui souhaitait prouver à sa fille Clara qu'elle était encore une aventurière hors-pair, a donc quitté le programme hier soir.
"J'ai eu du mal à digérer quand le médecin m'a dit que mon état ne me permettait pas de revenir sur l'île. Six heures après mon arrivée à l'infirmerie, je ne pouvais toujours pas marcher", confie-t-elle à Télé Star. Et la question que tout le monde se pose aujourd'hui est de quel mal souffrait Sandra ? La jolie brune explique : "Je me suis vraisemblablement faite piquer par des bestioles sur tout le corps. Les médecins pensent que j'ai fait un choc anaphylactique. J'ai mis trois semaines à m'en remettre."Si elle est déçue d'avoir été contrainte à abandonner, Sandra reconnaît que le médecin n'aurait peut-être pas pris la décision de l'écarter si rapidement du jeu sans le terrible décès de Gérald Babin survenu lors de la saison précédente.
Comme le veulent les règles de Koh-Lanta, lorsqu'un candidat est rapatrié, le dernier éliminé revient dans la course. En l'occurrence, il s'agit là d'Isabelle, éliminée à la surprise générale la semaine dernière à cause de Florence et Laurence qui ont trahi le pacte des filles. Un retour qui est loin de laisser Sandra indifférente. "La pauvre ! Elle revient en plus dans l'équipe de Florence et de Laurence", lâche-t-elle spontanément.
Alors qu'Isabelle passe pour la méchante stratège du jeu, Sandra a souhaité prendre sa défense : "Florence, c'est la plus grosse faux-cul de l'île. Elle ne m'intéresse pas, ni sur Koh-Lanta ni dans la vie. Laurence, elle, était sous la coupe de Florence (...) L'alliance des filles n'est pas une idée d'Isabelle, c'est une volonté commune. On était toutes d'accord au début. Ça m'a fait de la peine qu'on accable Isabelle. Elle a payé pour nous."
Sarah Rahimipour
