
Ses vacances festives à Saint-Tropez cet été n'auront été qu'une petite bulle d'oxygène dans une accumulation de drames dans la vie de Massimo Gargia.
En effet, le célèbre jet-setteur italien, après avoir perdu Francine, sa bien-aimée, disparue en mai dernier à l'âge de 75 ans des suites d'une variante de la maladie de Parkinson, c'est cette fois sa résidence secondaire, lieu préféré de sa femme décédée, qui vient d'être détruite par les flammes.
Le 18 septembre dernier, cette résidence de Franceville (Calvados), qui regorgeait de souvenirs de son épouse, était inoccupée, mais lorsque la femme de ménage s'y est rendue, elle a découvert le sinistre. Elle a alors appelé immédiatement les pompiers, mais en vain. Il ne reste que les murs, annonce Ici Paris.
Un court-circuit serait à l'origine du drame, dans lequel Massimo a perdu des tissus et des tapisseries italiennes de grande valeur, une collection de gravures anciennes, tous les objets décoratifs judicieusement choisis par Giogio Pes — le décorateur de Luchino Visconti sur Le Guépard —, et surtout, tous les souvenirs de Francine, qui, lors de son combat contre la maladie, vivait la moitié du temps dans cette demeure.
Seule lueur dans les ténèbres de cette tragédie, les deux chiens de Francine — Léo, un chow-chow, et Mina, un shar-pei — qui vivaient habituellement dans la propriété, avaient été ramenés récemment à Paris, par hasard. Ce qui leur a sans doute sauver la vie.
Courage, Massimo, des jours meilleurs t'attendent...









