Mischa Barton menacée : Sa sextape interdite de diffusion, elle crie victoire

Victime de chantage émotionnel et de "revanche pornographique" après que l'un de ses ex a menacé de diffuser une sextape mettant en scène leurs ébats, Mischa Barton peut souffler. Selon les informations rapportées par le Page Six, la star de 31 ans a effectivement remporté son procès contre Jon Zacharias après des semaines de bataille judiciaire. Un accord entre les deux parties a ainsi été conclu : l'ancien petit ami de la jeune femme a pour ordre de se tenir éloigné d'elle "indéfiniment" et a l'interdiction formelle de diffuser ou de vendre des images de la vidéo incriminée. Officiellement protégée par la loi, l'ex-vedette de Newport Beach savoure donc sa victoire.

Sur Twitter, l'avocate de Mischa Barton, Lisa Bloom, a publié une photo d'elles deux à la sortie du tribunal de Los Angeles, triomphantes et souriantes. "VICTOIRE DEVANT LA COUR aujourd'hui avec Mischa Barton. Diffusion d'images explicites interdite, l'ex sommé de rester éloigné à 90 mètres pour toujours, a écrit la représentante de la comédienne. Les gens disaient que Mischa et moi ne pourrions jamais empêcher un ex-compagnon de vendre des photos suggestives d'elle. Je n'étais pas d'accord. Aujourd'hui, nous avons gagné", a-t-elle ajouté dans une seconde publication.

Dans un communiqué transmis à People, Lisa Bloom a également déclaré : "Aujourd'hui, nous avons remporté un accord important qui permet de bloquer de façon permanente la propagation de ces images. Toutes les photos et vidéos explicites de Mischa doivent m'être remises immédiatement. Son ex-compagnon doit se tenir éloigné d'elle de plus de 90 mètres à compter d'aujourd'hui, pour demain et pour toujours. (...) Je suis fière d'annoncer la victoire de Mischa. Elle n'a pas fait ça seulement pour elle, mais pour toutes les femmes et jeunes filles [victimes d'un chantage similaire]. Mischa tient à ce que tout le monde sache que nous avons le droit de contrôler nos propres corps et de décider nous-mêmes de la diffusion ou non de photos explicites. Si une femme veut le faire, très bien. Si elle ne le souhaite pas, très bien. Le choix lui appartient, à elle et elle seulement", peut-on lire.

Dans sa plainte, celle qui a refait sa vie avec un nouvel homme avait déclaré que son ex-petit ami l'avait filmée et photographiée à son insu en plein acte sexuel. Après l'avoir menacée, Jon Zacharias avait tenté de vendre les images pour la modique somme de 500 000 dollars. Aujourd'hui, cette tentative malveillante de déstabilisation n'est plus qu'un mauvais souvenir...