Olivier Giroud, sexy et délirant : ''Je n'y peux rien si je suis beau''

Dans beaucoup de sports, et particulièrement dans le monde du football, l'homophobie reste un fléau à combattre. Afin d'éduquer les joueurs et les supporters à apprendre les valeurs basiques de respect, de tolérance et d'égalité, l'association britannique Stonewall (du nom des émeutes qui eurent lieu en 1969 à New York, considérées comme un exemple de lutte des gays et des lesbiennes) a lancé une nouvelle campagne intitulée Rainbowlaces. Dans une vidéo humoristique, plusieurs stars du ballon rond s'illustrent, comme le sexy Olivier Giroud...

Soucieux de lutter contre l'homophobie dans les stades et dans les vestiaires, diverses personnalités issues de plusieurs clubs anglais comme Arsenal ont accepté de prêter leur image à la campagne Rainbowlaces (soit en français, des lacets arc-en-ciel). Invités à dire ce qu'ils ne peuvent pas changer chez eux, pour faire comprendre que l'homosexualité n'est pas non plus quelque chose qui peut être changée, le joueur français Olivier Giroud, de l'équipe des Gunners d'Arsenal, a opté pour l'humour. "Je n'y peux rien si je suis beau", déclare-t-il en ajoutant un clin d'oeil appuyé.

Il faut dire que le jeune homme de 27 ans possède effectivement un physique plus qu'agréable et que ce dernier lui a d'ailleurs valu le titre de "footballeur le plus sexy du Mondial 2014" d'après un sondage Opinéa. Réputé gay-friendly, le joueur avait également accepté de faire la couverture d'une édition du magazine Têtu, en juin 2012. C'était alors la première fois qu'un joueur professionnel donnait son accord pour poser.

D'autres joueurs, conviés à porter des lacets arc-en-ciel à leurs chaussures, se sont aussi démarqués dans cette petite vidéo, comme Théo Walcott qui déclare : "Je ne peux rien y changer si je ressemble à Lewis Hamilton". Mais aussi Alex Oxlade-Chamberlain, qui lui aussi préfère l'humour : "J'y peux rien si je ressemble à une Tortue Ninja". Ou encore Santi Cazorla (1m65) : "Je neux pas changer ma taille", dit-il, filmé sur la pointe des pieds et pas du tout vexé.

Thomas Montet