Lady Diana, radieuse lors de son mariage au Prince Charles à Londres, le 29 juillet 1981.© BestImage
Quatorze ans après sa mort, la princesse Diana continue de faire rêver. Pour preuve, la robe et les ballerines de la défunte reine portées lors de son mariage avec le prince Charles ont été vendus lors d'une vente aux enchères pour une très belle somme.
Ce sont nos confrères du Daily Mail qui ont vendu la mèche. La vente avait lieu à Londres, dans la maison de vente aux enchères Kerry Taylor. Les acheteurs ont dû y débourser environ 140 000 euros pour s'approprier la tenue de mariage préventive de la mère des princes William et Harry. Préventive car ces pièces sont les exactes répliques de celles qui ont bien été portées par Lady Di lors de son mariage princier le 29 juillet 1981, réalisées par les mêmes créateurs : David Emanuel pour la robe, et Clive Shilton pour les chaussures.
Jamais trop prudente, la famille royale avait fait élaborer une tenue de remplacement au cas où l'originale était dégradée au cours de la cérémonie. Alors que la robe s'est envolée à un peu moins de 100 000 euros pour un musée consacré à la mode au Chili, le nouveaux propriétaires des ballerines, d'une pointure 40.5, n'a pas souhaité se faire connaître. Des chaussons à 40 000 euros qui sont marquées des initiales des deux mariées de l'époque sur les semelles.
Au cours de la même vente aux enchères, portée par Amy Winehouse sur la pochette de son album Back To Black (2006) a été accordé à 78 000 euros, une autre dorée appartenant à Elizabeth Taylor est partie à 55 000 euros, et la masterpiece de la vente, une robe noire créée par Alexander McQueen, s'en est allée à un peu plus de 140 000 euros.
L'Angleterre était donc à l'honneur au cours de ces enchères placées sous le signe funèbre. Quant à la princesse Diana, elle est une excellente vendeuse : certaines robes lui ayant appartenu avaient déjà été vendues à Beverly Hills pour un montant de 190 000 euros. Elle reste surtout jusqu'aujourd'hui une icône mode et beauté, le symbole de l'élégance et de la classe à l'anglaise.
Igor Nkodia.
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