Sonia Rolland et Jalil, Amanda Sthers et Sinclair... Les hommes qu'elles aiment

Confidences pour confidences... Plusieurs artistes françaises ont répondu aux questions de Madame Figaro, à savoir ce qu'elle aimait chez leurs amoureux. Orientées dans l'univers des soins cosmétiques, ces interviews parfumées dévoilent plus généralement pourquoi ces hommes font vibrer Sonia Rolland, Amanda Sthers ou encore Audrey Dana.

Ancienne miss France, égérie de Mixa et actrice et femme engagée depuis toujours, Sonia Rolland est tombée sous le charme du comédien et réalisateur Jalil Lespert. Ce dernier, avec qui elle a eu son second enfant, va dévoiler en décembre sa nouvelle mise en scène, Des vents contraires. Quels sont les atouts de cet artiste pour sa bien-aimée ? "Il a ce truc animal qui le rend hypersensuel." Mais elle aime moins "ses yeux quand il est en colère". Elle se ravit d'ailleurs du fait qu'il ait arrêter de fumer : "Il a retrouvé sa bonne mine !"

L'auteur Amanda Sthers a également participé à cet interrogatoire cosmétique, en relevant les produits que Sinclair, son compagnon qu'elle a rencontré sur le tournage de Je vais te manquer, possède dans sa salle de bains. Au détour de ces questions-beauté, elle avoue que ce qu'elle aime le moins, c'est "que beaucoup de filles soient d'accord" avec elle ! "Il plaît beaucoup," ajoute-t-elle. Amanda admet quant à elle avoir minci, "mais pas à sa demande, au contraire" ! Ensemble, ils ont monté la comédie musicale Lili Lampion, jouée au théâtre de Paris à partir du 22 octobre.

Audrey Dana, sur scène dans Le Paradis sur terre avec Johnny Hallyday, évoque sa relation avec le réalisateur Mabrouk El Mechri , dont on attend le film Sans Issue. Elle aime le type méditerranéen du père de son second enfant : "Bien qu'il soit d'origine tunisienne, il me fait penser à un Indien d'Amérique latine. Il a le sang chaud et ça se voit." Bien évidemment, elle ne voudrait qu'il ne change rien en lui : "De toute façon, un vrai couple grandit ensemble. Depuis qu'on se connaît, il est devenu plus élancé, et moi, je me suis un peu arrondie, féminisée. Au début, il me disait que je ressemblais à une arme, tant j'étais musclée et tonique."

Retrouvez l'intégralité de cet article dans le magazine Madame Figaro du 7 octobre.