Stéphane Rotenberg, papa absent : 'J'ai raté six des anniversaires de ma fille'

Depuis plusieurs semaines, les candidats de la dixième saison de Pékin Express (M6) parcourent l'Inde, le Sri Lanka ou encore le Bhoutan dans le but de faire des rencontres incroyables et de gagner un peu d'argent. Un show porté par Stéphane Rotenberg qui a permis au présentateur de voyager autour du monde au grand dam de sa fille. L'animateur s'est confié à Femme actuelle et raconte sa douleur d'être trop souvent séparé de sa progéniture.

Depuis 2006, date de la première saison du jeu d'aventure de M6, chaque année, Stéphane Rotenberg s'éloigne de sa fille, Emma (17 ans), durant les cinquante jours de tournage. Une séparation particulièrement difficile pour lui. "J'ai raté six de ses anniversaires", confie-t-il avec tristesse au magazine. Si, petite, Emma ne se plaignait pas trop, le présentateur de Top Chef et d'Ice Show confie qu'en grandissant, elle a "clairement formulé" que cela ne lui plaisait pas. L'adolescente s'en était d'ailleurs expliquée en avril dernier dans TvMag : "Chaque fois que mon père part en tournage, on se quitte pour pas mal de temps. C'était difficile quand j'étais petite. Surtout lorsqu'il n'était pas là pour mon anniversaire ! (...) Lorsque j'étais petite, je frappais l'écran de la télé en l'appelant. J'étais vexée parce qu'il ne me répondait pas !" Rongé par la culpabilité, Stéphane Rotenberg a d'ailleurs failli tout laisser tomber au moment de la sixième saison de Pékin Express.

"Aujourd'hui ça va mieux car ma fille est grande. Dès que j'ai du réseau, on s'envoie des SMS, des mails, et on se parle sur Skype. Pékin Express me coûte cher", lâche-t-il avec humour. Il a ainsi pu lui-même rassurer sa fille au moment de l'arrestation des candidats et des équipes techniques du programme il y a quelques mois.

À l'avenir, c'est peut-être le papa qui risque de voir sa fille s'éloigner. Comme l'explique en effet Stéphane Rotenberg, Emma, qui s'apprête à passer son bac L, est déjà admise dans une école de mode et de design... à Milan ! C'est plus près que le Bhoutan, certes, mais là encore, le téléphone risque de remplacer les câlins.