Waly Dia : Son expérience angoissante dans "On n'demande qu'à en rire"
Publié le 26 avril 2019 à 22:31
Par Laïa Dabri | Rédactrice
Laïa Dabri est curieuse. Hors de question pour elle de ne se cantonner qu'à un genre d'émission à la télévision. De Touche pas à mon poste aux Marseillais ou au Journal Télévisé, il n'y a qu'un pas qu'elle n'hésite jamais à franchir. Embarquez dans son univers où même les séries en tout genre ont leur place.
L'humoriste a accordé une interview à "Purepeople", dans le cadre de la promotion de son spectacle "Ensemble ou rien". Waly Dia est notamment revenu sur son expérience stressante dans "On n'demande qu'à en rire"
Waly Dia en interview pour "Purepeople" - avril 2019 © Purepeople
Affiche d'"Ensemble ou rien"
Waly Dia - Soirée de départ de Jean Gachassin (président de la Fédération française de tennis de 2009 à 2017) à l'Arc à Paris le 19 mars 2017. © Rachid Bellak/Bestimage
Waly Dia en interview pour "Purepeole" pour la promotion d'"Ensemble ou rien" - 8 avril 2019
Waly Dia au festival du "Cinéma & Musique de Film" de La Baule, le 10 novembre 2016. © Rachid Bellak/Bestimage
Waly Dia en interview pour "Purepeole" pour la promotion d'"Ensemble ou rien" - 8 avril 2019
Exclusif - Waly Dia - Enregistrement de l'émission "Vivement dimanche" au studio Gabriel à Paris le 17 septembre 2018 pour une diffusion le 30/09/2018 sur France 2. © Guillaume Gaffiot/Bestimage
Exclusif - Waly Dia - Enregistrement de l'émission "Vivement dimanche" au studio Gabriel à Paris le 17 septembre 2018 pour une diffusion le 30/09/2018 sur France 2. © Guillaume Gaffiot/Bestimage
Exclusif - Waly Dia - Enregistrement de l'émission "Vivement dimanche" au studio Gabriel à Paris le 17 septembre 2018 pour une diffusion le 30/09/2018 sur France 2. © Guillaume Gaffiot/Bestimage
Semi-exclusif - Waly Dia - Soirée de départ de Jean Gachassin (président de la Fédération française de tennis de 2009 à 2017) à l'Arc à Paris le 19 mars 2017. © Rachid Bellak/Bestimage
Exclusif - Waly Dia - Soirée de lancement de la nouvelle collection de chaussures Aldo "Match Perfect" printemps-Eté 2015 à Paris, le 24 avril 2015
Waly Dia - Enregistrement de l'émission "Vivement Dimanche" à Paris le 25 Mars 2015. L'émission sera diffusée le 29 Mars.
L'humoriste Waly Dia - Soirée "Roof top party" Lea et la smala à la Maison Blanche à Paris le 14 mars 2015
Portrait de Waly Dia 16/02/2015 - Paris
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C'est dans On n'demande qu'à en rire (France 2) que Waly Dia a été révélé, en 2012. Comme les autres participants, il devait jouer des sketchs devant un jury qu'il devait convaincre pour rester le plus longtemps possible dans l'émission animée par Laurent Ruquier. Une expérience mitigée pour l'humoriste de 30 ans, comme il nous l'a expliqué.

S'il ne regrette pas d'avoir participé, Waly Dia n'a pas caché pas que cela n'avait pas été pas facile tous les jours : "C'était un peu plus de souffrance que le Comedy Club. C'était des sketchs imposés, on n'avait que cinq jours pour les écrire et on les jouait en direct. Tu es plus angoissé et stressé. (...) C'est pour ça qu'on a fait des sketchs un peu pourris parfois. Mais on a aussi fait de très bons sketchs qui ont marché et dont les gens me parlent encore maintenant, alors que c'était il y a six ou sept ans."

Waly Dia assure qu'il y avait beaucoup moins de pression au Comedy Club et que les humoristes s'amusaient : "On n'demande qu'à en rire, tu avais énormément de mal à t'amuser et même à parler avec les autres, car chacun se transmettait son stress. Honnêtement, si c'était à refaire, je ne sais pas si je le referais. Mais je ne regrette absolument pas de l'avoir fait à cette époque."

Le jeune homme – déjà victime de racisme – aurait pu ne jamais jouer dans la troupe de Jamel Debbouze. C'est en effet grâce à un gros coup de chance qu'il l'a intégrée : "Quand je suis arrivé au Comedy Club, je n'étais pas inscrit. À l'entrée, je l'ai joué un peu comme en boîte. J'ai essayé d'embrouiller le mec devant. Comme il ne voulait pas faire preuve d'incompétence, comme s'il n'avait pas suivi un artiste, il m'a dit : 'Oui vas-y.' Je suis rentré et c'était le jour où il y avait le frère de Jamel Debbouze. C'est parti de là."

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