Photo : Valérie Trierweiler, Elsa Zylberstein, Yamina Benguigui et Sophie Albou entourées d'adolescentes lors du nouveau rassemblement place du Trocadéro à Paris, le 17 mai 2014, pour réclamer la libération des 270 lycéennes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram au Nigéria. Ce rassemblement est à l'initiative de l'ex-première dame, Valérie Trierweiler et des réalisatrices Lisa Azuelos, Karine Silla, Yamina Benguigui ainsi que l'ensemble du Comité Bring Back Our Girls, qui avait déjà organisé la «marche de femmes», mardi dernier. Pour l'occasion, le comité Bring Back Our Girls a décidé cette fois-ci de rassembler 270 jeunes filles de 15 à 20 ans qui portent un tee-shirt avec l'inscription Bring Back Our Girls et une pancarte avec le nom de chaque Nigériane enlevée. La date et l'heure du rassemblement ne sont pas choisis au hasard. Au même moment se tiendra un sommet à l'Elysée sur la sécurité au Nigeria François Hollande est à l'origine de cette réunion avec Jonathan Goodluck, chef d'Etat du Nigeria et plusieurs dirigeants africains, notamment ceux du Tchad, du Cameroun, du Niger et du Bénin.

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Valérie Trierweiler, Elsa Zylberstein, Yamina Benguigui et Sophie Albou entourées d'adolescentes lors du nouveau rassemblement place du Trocadéro à Paris, le 17 mai 2014, pour réclamer la libération des 270 lycéennes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram au Nigéria. Ce rassemblement est à l'initiative de l'ex-première dame, Valérie Trierweiler et des réalisatrices Lisa Azuelos, Karine Silla, Yamina Benguigui ainsi que l'ensemble du Comité Bring Back Our Girls, qui avait déjà organisé la «marche de femmes», mardi dernier. Pour l'occasion, le comité Bring Back Our Girls a décidé cette fois-ci de rassembler 270 jeunes filles de 15 à 20 ans qui portent un tee-shirt avec l'inscription Bring Back Our Girls et une pancarte avec le nom de chaque Nigériane enlevée. La date et l'heure du rassemblement ne sont pas choisis au hasard. Au même moment se tiendra un sommet à l'Elysée sur la sécurité au Nigeria François Hollande est à l'origine de cette réunion avec Jonathan Goodluck, chef d'Etat du Nigeria et plusieurs dirigeants africains, notamment ceux du Tchad, du Cameroun, du Niger et du Bénin.