Maxime Mermoz et Barbara Morel lors du match du tournoi des VI Nations entre la France et l'Angleterre au Stade de France à Saint-Denis, le 1er février 2014© Abaca
Non retenu parPhilippe Saint-André pour affronter le XV d'Angleterre en ouverture du tournoi des VI Nations ce 1er février, Maxime Mermoz était tout de même présent dans les tribunes. Et avec le sourire puisque sa belle Barbara Morel lui a remonté le moral durant tout le match...
Pour ce "crunch" - célèbre expression qui désigne l'affrontement entre l'Angleterre et la France dans le tournoi des VI Nations -, match d'ouverture de l'édition 2014 du tournoi, Philippe Saint-André avait donc laissé Maxime Mermoz, centre du Rugby Club Toulonnais (RCT), au repos. Depuis les tribunes, le beau gosse du rugby français a tout de même pu assister à un match serré, que le XV tricolore aura finalement remporté en battant les Anglais à la dernière minute sur un essai inattendu du jeune Gaël Fickou.
Un essai qui faisait basculer le Stade de France dans l'euphorie, emportant également les politiques présents au stade comme Manuel Valls et Claude Bartelone. Maxime Mermoz, jamais le dernier pour se mettre en sous-vêtement, était cette fois-ci chaudement habillé et dans les bras de sa bien-aimée, Barbara Morel, miss Nationale 2011. Les deux tourtereaux filent le parfait amour depuis plusieurs années maintenant et leur amour ne semble pas connaître d'obstacle à en croire la complicité qu'ils affichaient du côté de Saint-Denis.
Baisers amoureux et regard plein de tendresse, nos deux tourtereaux étaient comme des ados à l'heure de leur premier flirt... Et ils n'étaient pas les seuls. Virgile Bruni, partenaire de Maxime Mermoz au RCT, lui aussi appelé mais non retenu par Philippe Saint-André, aura suivi le match depuis les tribunes, dans les bras de sa compagne, jolie blonde dont il avait bien du mal à se détacher. L'amour était donc au rendez-vous, tout comme le suspense...
Vincent Moscato et Jean-Luc Reichman auront ainsi vu les Français prendre le large en première mi-temps, avant de voir les Anglais démolir consciencieusement les Bleus, qui s'en sortiront grâce à une ultime action de classe conclue par Gaël Fickou.
Ça valait bien un bisous...
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