Grace Gummer, fille de Meryl Streep : Un look sensuel au côté d'Hilary Swank

L'American Film Institute (AFI) Fest continue de plus belle en ce 11 novembre à Hollywood. Après l'ouverture marquée par A Most Violent Year suivie par la projection de Deux jours, une nuit, défendu en beauté par Marion Cotillard, le festival a proposé la projection de The Homesman. Déjà présenté au Festival de Cannes - dont il est rentré bredouille - et sorti en mai en France, ce long métrage de et avec Tommy Lee Jones a eu le droit à un bel accueil, en présence de ses talentueuses actrices. Se prépare-t-il à la course aux Oscars ?

Le premier rôle est entre les mains de l'oscarisée Hilary Swank (Boys Don't Cry et Million Dollar Baby) que nous avions pu rencontrer et qui fait face à l'impressionnant Tommy Lee Jones. En effet, au-delà de son talent, l'acteur et réalisateur a la réputation d'être très taciturne. Jim Carrey se souvient n'avoir pas réussi à s'entendre avec lui sur le tournage de Batman Forever. Au cours de cette soirée, les festivaliers ont également pu apprécier la venue de Grace Gummer, affichant un look sensuel, la fille cadette, encore méconnue, de Meryl Streep (qui joue aussi dans le film). Comme son aînée Mamie, la jeune femme a suivi les traces de sa mère en se lançant dans le cinéma, on l'avait d'ailleurs déjà vue dans Frances Ha, au côté de l'irrésistible Greta Gerwig. Miranda Otto, William Fichtner et Hailee Steinfeld étaient aussi présents à l'AFI Fest, tout comme Luc Besson et sa femme Virginie Silla, distributeurs de ce long métrage avec leur société EuropaCorp. Pour les applaudir, on pouvait compter sur la présence de Jacqueline Bisset ou encore celle d'Owen Wilson.

The Homesman nous emmène en 1854. Trois femmes ayant perdu la raison sont confiées à Mary Bee Cuddy, une pionnière forte et indépendante originaire du Nebraska. Sur sa route vers l'Iowa, où ces femmes pourront trouver refuge, elle croise le chemin de George Briggs, un rustre vagabond qu'elle sauve d'une mort imminente. Ils décident de s'associer afin de faire face, ensemble, à la rudesse et aux dangers qui sévissent dans les vastes étendues de la Frontière (ligne marquant la limite de l'implantation des populations d'origine européenne à l'époque de la conquête de l'Ouest).