John Travolta : Révélations sur ses curieuses exigences de star

Il faudra plus que quelques plaintes déposées devant la justice pour refroidir les ardeurs de John Travolta. Selon un informateur de la Page Six du New York Post, l'acteur américain de 62 ans est toujours aussi pointilleux lorsqu'il s'agit de son bien-être corporel.

Lors de ses nombreux déplacements et chaque fois qu'il descend à l'hôtel, le héros du film Grease poursuivi il y a quatre ans pour agression sexuelle par trois masseurs anonymes, a des exigences bien particulières. Outre un masseur personnel – "Il a besoin d'être massé par un homme", rapportait cette semaine une source au célèbre tabloïd –, l'acteur demande aussi à ce que le personnel de l'établissement protège les fenêtres de sa chambre avec du papier aluminium et d'épais rideaux noirs, afin d'être bien certain que personne ne puisse voir à travers.

Le célèbre acteur du film La Fièvre du samedi soir insiste aussi pour que sa chambre soit libérée vingt-quatre heures avant son arrivée, afin d'éviter les éventuels relents d'odeur d'autres personnes. Une aversion qui pourrait avoir un lien avec son appartenance à l'église de scientologie puisque le fondateur de la secte, L. Ron Hubbard, aurait développé une animosité particulière à l'égard des parfums et tout particulièrement ceux à la rose.

Par ailleurs, le National Enquirer ajoute que John Travolta, marié à l'actrice Kelly Preston depuis vingt-cinq ans mais qui fait souvent l'objet de rumeurs à propos de sa supposée homosexualité, ferait aussi appel aux services d'un certain Edward, masseur thérapeuthique, qui possède une entreprise au nom évocateur, Man 2 Man Massage, qui embauche des masseurs thérapeuthiques "mobiles et non licenciés". Le propriétaire de l'entreprise, qui s'est confié au magazine à sensation sous couvert d'anonymat, a assuré avoir organisé plusieurs séances de massages pour celui qui incarnait Vincent Vega dans Pulp Fiction ainsi que pour un autre célèbre acteur. Des rumeurs à prendre avec des pincettes à en juger par la réputation du tabloïd...

Coline Chavaroche