Johnny Weir : Divorce annulé... mais sous conditions !

Alors que leur divorce avait franchi une étape importante avec la décision de la justice d'accorder une pension alimentaire à Victor Voronov, époux du flamboyant patineur américain Johnny Weir, les amants terribles ont décidé d'annuler la procédure ! Toutefois, le sportif ne devrait pas s'en tirer aussi simplement...

Johnny Weir (29 ans), trois fois champion des États-Unis, a donc décidé de sauver son mariage. Le patineur, marié depuis décembre 2011 à l'avocat d'origine russe Victor Voronov, a essayé de se réconcilier avec son mari au cours d'une rencontre durant le week-end du 12 avril. Alors qu'il était à Los Angeles pour le travail, le champion, reconverti en consultant pour la chaîne NBC, aurait même dans l'idée de rejoindre le domicile conjugal dans le New Jersey, dont il était écarté suite à une mesure d'éloignement accordée à Victor Voronov, affirment nos confrères de TMZ.com. Le site américain ajoute que Victor est prêt à reprendre Johnny mais sous certaines conditions...

Alors que les choses se sont rapidement envenimées une fois l'annonce de la procédure de divorce faite en mars, Victor Voronov ne veut plus jamais être publiquement humilié. Selon TMZ, il aurait demandé à son époux de signer un document dans lequel Johnny Weir doit lui faire des excuses publiques pour toutes les choses qu'il a pu dire dans les médias (notamment sur les accusations de maltraitance de leur chien Tema). Johnny Weir devra également assurer par écrit que sa mère n'aura plus son mot à dire dans la gestion de leur couple et qu'elle devra rester éloignée de leurs affaires financières. Une dispute était survenue dans le couple et Johnny Weir avait affirmé qu'il était question d'argent, sans plus de précisions. Toutefois, comme le précise le site, le couple négocie âprement les conditions de Victor...

Johhny Weir et Victor Voronov se laissent donc une chance et devraient, logiquement, laisser tomber la vente de leurs alliances et de leur oeuf de Fabergé, dont les bénéfices auraient dû servir à payer leurs frais d'avocats.

Thomas Montet