Julie Gayet était en Turquie en même temps que François Hollande ?

Un peu de légèreté dans cette tempête intense ne fait pas de mal. Le nom de Julie Gayet est sur toutes les lèvres et parfois, on s'emballe un peu trop vite. C'est ce qui est arrivé aux hôtesses à l'embarquement du comptoir Air France au sein de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle le 27 janvier, comme le révèle le magazine Closer.

L'affaire s'est déroulée à l'aéroport de Roissy. Lorsque les hôtesses du comptoir Air France réalisent que le nom de Julie Gayet, la femme au coeur de la tourmente depuis la révélation de l'idylle supposée de l'actrice et de François Hollande, ex-compagnon désormais de Valérie Trierweiler, figure sur la liste des passagers, la surprise est immense. D'autant plus qu'elle se rend à Istanbul en Turquie, pays dans lequel se trouve justement le président pour une visite de deux jours. Chacun s'affole mais lorsque la jeune femme arrive, il ne s'agit pas de la comédienne...

Julie Gayet se présente bien à l'embarquement, mais il s'agit en réalité d'une homonyme de l'actrice. C'est une femme d'affaires, la trentaine, et elle est tout aussi charmante. Loin de s'offusquer de la confusion, elle sourit et n'est pas surprise d'être prise pour une autre, à l'heure de l'intense tapage médiatique : "On me demande souvent de passer le bonjour à François Hollande. Sur Facebook aussi, beaucoup de gens me demandent en amie." Sur son profil, qui est privé, on peut néanmoins voir sa photo de profil où elle est de dos, observant un beau paysage. Pas de séjour romantique secret pour le chef d'État et l'héroïne de Delphine 1 - Yvan 0, juste une méprise qui aura mis en ébullition quelques instants le personnel d'Air France.

Pendant ce temps, l'autre Julie Gayet, celle du scandale, vient d'apprendre qu'elle est nommée aux César en tant que second rôle pour sa performance dans Quai d'Orsay, un film qui nous plonge d'ailleurs au coeur du ministère des Affaires étrangères. L'artiste, mère de deux enfants, tente de se faire discrète et de poursuit sa vie, en étant égérie de mode ou en s'invitant dans un clip musical Waiting for You.

Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine "Closer" du 1er février