Roselyne Bachelot et son calendrier des Dieux du stade, sur le Grand 8
Laurence Ferrari, très souriante, a lancé à 12h15 la grande deuxième du Grand 8 sur D8. Nos quatre coanimatrices, Elisabeth Bost, Hapsatou Sy, Audrey Pulvar et Roselyne Bachelot, ont pris place autour de Laurence Ferrari sur le grand canapé. L'émission commence !
Le plateau est propice aux confidences. Les amazones sont là pour débattre, échanger. L'émission commence avec "la bonne nouvelle du jour". La force du programme est évidente : la proximité instaurée par les amazones avec leur public ! Tutoiement, anecdotes personnelles, Laurence Ferrari et ses complices basent leur discours sur leur propre histoire. Ainsi, lorsque le débat porte sur les flics ripoux de Marseille, nos amazones parlent de leurs propres contrôles de police.
Après ceux de journalistes ou d'ex-politique, elles revêtent ensuite leur costume de maman (et de grand-mère pour Roselyne Bachelot) afin de parler du redoublement. On apprend ainsi qu'Audrey Pulvar a redoublé sa 3e ! C'est ensuite Roselyne Bachelot, ex-ministre de la Santé et pharmacienne de profession, qui accueille le professeur Philippe Even, auteur du guide des 4000 médicament utiles et inutiles pour l'interview de l'émission. Le débat est sérieux, presque trop, mais Laurence Ferrari a su rétablir un peu de légéreté. Roselyne Bachelot, qui connaît bien le sujet, n'hésite pas à tacler son invité : "C'est un peu light", s'insurge-t-elle.
Star de l'émission, cette dernière ne manque jamais une occasion de plaisanter. Nouveau sujet : le combat entre Fillon et Coppé. Et Roselyne Bachelot de déclarer qu'elle est pro Fillon et qu'elle n'est donc pas objective ! Elle présente ensuite, non sans fierté, son secret du bonheur. Et accrochez-vous bien, il s'agit du calendrier 2013 des Dieux du stade. S'ensuit un vrai débat de fond : la virilité de nos rubgymen.
Le bilan ? Le rythme est soutenu, le téléspectateur n'a pas le temps de s'ennuyer. Chacune a trouvé sa place, sa propre façon d'amener les chroniques. Au fil de l'émission, on oublie les bagages professionnels des amazones pour découvrir tout simplement les femmes qu'elles sont au quotidien.
Hier pour son lancement, le magazine a fédéré 240 000 téléspectateurs, un démarrage satisfaisant.
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