Michael Bublé : Menaces de mort, photos de couteaux... son épouse a peur pour lui

L'histoire a pris des proportions désastreuses. Soupçonné de violences conjugales après avoir partagé un live un peu tendu sur Instagram avec son épouse le 12 avril 2020, Michael Bublé a reçu des messages. Beaucoup de messages... et pas toujours très bienveillants. C'est ce qu'a révélé sa partenaire, Luisana Lopilato, à la télévision argentine dans l'émission Intrusos. "On a eu droit à beaucoup d'amour mais vous ne pouvez pas imaginer le nombre de gens qui nous ont fait parvenir des photos avec des armes dessus, disant qu'ils allaient tuer Mike quand on reviendrait en Argentine" a-t-elle raconté.

C'est avec moult détails que Luisana Lopilato s'est souvenue de toutes ces missives effrayantes. "Des photos de couteaux, de la part de gens qui disaient en riant qu'ils allaient lui couper les doigts, laisser une bombe quelque par pour nous ou simplement le passer à tabac, a-t-elle ajouté. Ça m'a fait peur et, pour être honnête, je suis toujours un peu dans cet état-là." Pour rappel, la planète s'était révoltée en voyant le couple apparaître sur Instagram pendant le confinement. Luisana Lopilato avait coupé la parole de Michael Bublé au moment où ils disaient tous les deux bonjour, ce qui lui avait valu un grand coup de coude de la part de son mari.

Luisant Lopilato et Michael Bublé sont parents de trois enfants – Noah, 6 ans, Elias, 4 ans et Vida, bientôt 1 an – qu'ils élèvent dans la paix et l'amour. Depuis le début de l'esclandre, la comédienne défend son homme bec et ongles, le décrivant comme la plus pure des âmes. Ce qui n'a pas suffit à calmer les tensions. Les représentants du chanteur ont fini par réagir, estimant qu'il ne s'agissait que d'une "tentative vaine de cyber-harcèlement". "Il adore l'Argentine, il adore venir avec moi quand j'y travaille, conclut Luisana Lopilato de son côté. Il adore les amis qu'il a ici... Michael est un gentleman qui a toujours pris grand soin de faire en sorte que je sois heureuse, encore plus que je ne le suis déjà."