Paris Jackson : Ado grunge à la ville, jeune fille modèle à l'école...

Si dans la vie de tous les jours, Paris Jackson s'autorise toutes les excentricités fashion, quand elle se rend à son école de Los Angeles, le très select lycée Buckely, la fille de feu Michael Jackson se tient à carreau. Tatouée et grunge à la ville, c'est en effet dans son uniforme strict, composé d'une jupette grise et d'un petit pull assorti, que l'adolescente a été aperçue, mercredi 1er mai, dans les rues de Los Angeles.

Seul détail décalé : ses cheveux récemment coupés court et la nouvelle tête gothique qu'elle arbore depuis quelques mois, cependant couverte d'un bonnet branché rouge pétant. Ce look de petite fille modèle ferait presque passer la demoiselle pour n'importe quelle jeune fille de son âge, ce qui n'est sans doute pas pour lui déplaire. Ces derniers temps, la jolie brune de 15 ans s'efforce de mener une existence normale et ce, malgré son statut d'enfant de star.

Première étape de ce retour à une vie plus ordinaire, période post-Neverland (du nom du délirant ranch, propriété de son père Michael Jackson dans lequel elle a grandi) : Paris Jackson a renoncé aux cours à domicile pour suivre une scolarité régulière, au sein de la Buckley School. Dans cette droite lignée, la jeune femme, qui s'émancipe aujourd'hui doucement mais sûrement de l'emprise du clan Jackson, a récemment renoué avec sa mère biologique, Debbie Rowe. Après l'officialisation des retrouvailles, qui se sont déroulées le 3 avril dernier à l'occasion des 15 ans de Paris, l'inattendu duo a été aperçu en virée dans un restaurant de Palmdale, en toute complicité et surtout en toute simplicité.

Reprendre le contact avec sa génitrice (qui a pourtant renoncé à la totalité de ses droits parentaux en 2001), voilà sans doute la façon qu'a trouvée Paris Jackson de fuir la pression médiatique liée à un énième procès les impliquant elle et ses frères, Prince (16 ans) et Blanket (11 ans). C'est en effet en leur nom que Katherine Jackson, la matriarche du clan, a porté plainte contre le promoteur de spectacle AEG qui produisait les spectacles This Is It que Michael Jackson n'a jamais pu donner. Ouvert lundi 29 avril, ce procès, pour lequel la tribu de feu le roi de la pop réclame 40 milliards de dollars contre la société accusée, s'annonce fort en émotions avec des prestigieux témoins comme Diana Ross ou encore Spike Lee attendus à la barre.