Ségolène Royal, débarrassée de sa rivale, retrouve sa complicité avec Hollande

François Hollande aurait-il retrouvé un peu de douceur dans sa vie, lui qui est attaqué de toutes parts (coucou Valérie Trierweiler, Cécile Duflot, Delphine Batho, Martine Aubry...) et n'arrive pas à redécoller dans les sondages d'opinion ? Il semble bien que oui et ce, grâce à celle qui le connaît sans doute le mieux : Ségolène Royal. Débarrassée de sa rivale, l'actuelle ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie et ex-compagne du chef de l'État retrouve des gestes tendres à son égard...

Très agacé par la médiatisation de sa liaison avec Julie Gayet et le battage médiatique qui a suivi sa rupture brutale avec Valérie Trierweiler, le président de la République tient absolument à ce que les Français aient de lui une image de chef de l'État soucieux du bien de son pays et au travail. Le reste est donc superflu et il ne cherche en aucun cas à mettre en avant sa vie privée, qu'il s'agisse de ses amours, de sa famille ou de ses amitiés. Malheureusement, François Hollande a fait l'erreur d'accorder à la journaliste du Monde, Vanessa Schneider, un accès à l'Élysée pendant une semaine. Cette dernière a remarqué sa complicité avec Ségolène Royal et ne s'est pas fait prier pour le raconter...

"C'est une ministre à part, complè­te­ment à part. Elle a évidem­ment des liens plus que privilégiés avec François Hollande. C'est la mère de leurs quatre enfants et ça se sent à travers plein de petits gestes", a expliqué la journaliste au micro d'Yves Calvi sur RTL. D'ailleurs, elle ajoute qu'entre François et sa ministre de l'Écologie, c'est plus que l'entente cordiale... "Ils ont tout un jeu public où ils se serrent la main publique­ment et puis en fait, dès qu'ils se retrouvent tout seuls, ils s'em­brassent. À la fin du conseil des ministres, il fait le tour de la table pour venir l'em­bras­ser", a-t-elle ajouté. Voilà de quoi rassurer Ségolène, qui s'est récemment fait recadrer par le Premier ministre Manuel Valls après sa proposition choc sur la gratuité des autoroutes le week-end.

Thomas Montet