EN PRIVÉ AVEC Fabienne Carat souffre d'un trouble depuis des années : "C'est viscéral"

Fabienne Carat est une grande travailleuse et elle le prouve avec les nombreux projets qu'elle accomplit toujours avec succès. En ce début d'année par exemple, les téléspectateurs ont pu la retrouver sur C8 dans Bienvenue au monastère ou dans Section de recherches sur TF1. Ses fans ont également eu le plaisir d'entendre sa douce voix avec son dernier single Tous ces hommes, ou de la voir sur scène avec son one woman show Née de père trop connu. Des sujets qu'elle a évoqués avec passion lors de son interview En privé avec, pour Purepeople. La maman célibataire de 44 ans a aussi évoqué des sujets plus personnels, comme le trouble dont elle souffre.

En août dernier, Fabienne Carat s'est confiée sans filtre pour le podcast Dhombres et de Lumières. L'occasion pour elle d'évoquer un trouble dont elle souffre depuis l'adolescence. Il s'agit de la dysmorphophobie, qui se caractérise par une pensée obsédante sur un défaut imaginaire ou une légère imperfection de l'apparence physique. "Je suis une éternelle complexée. Je suis dysmorphophobique. Une éternelle complexée qui s'est toujours sentie laide et grosse. Ça va un peu mieux, mais cela reste un ressenti très profond", déclarait-elle.

Lors de son interview En privé avec, nous lui avons donc demandé d'où venait ce gros manque de confiance en elle. "Je ne sais pas. C'est viscéral. Certainement de l'enfance", a répondu la maman de Céleste (2 ans, né d'un géniteur dont l'identité n'a jamais été dévoilée). Il arrive encore parfois à Fabienne Carat de regarder des photos et de se dire, par exemple, qu'elle était "un peu maigre" à l'époque où elle a été prise. "Dans mon coeur, je ne me sens toujours pas comme il faut", a-t-elle poursuivi.

Afin que la petite Céleste ne souffre pas de ce trouble à son tour, Fabienne Carat lui dit "toutes les cinq minutes qu'elle est belle". "Je pense que ça marche bien parce qu'elle a confiance en elle pour l'instant", a-t-elle analysé. Pourvu que cela dure !

Propos exclusifs ne pouvant être repris sans la mention Purepeople.