"C'est une aberration" : un dispositif prévu aux JO suscite l'indignation, un chroniqueur de PAF explose de colère

Dans le futur village olympique de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis, des purificateurs d'air en forme de soucoupes volantes ont fait leur apparition, comme l'ont récemment expliqué nos confrères de BFMTV. Destinés à purifier l'air, ces engins ne font pas pour autant l'unanimité. Ce lundi 12 février, Isabelle Morini-Bosc s'est notamment indignée de cette nouveauté dans PAF, sur C8.

"On va où Pascale (De La Tour du Pin, la présentatrice de l'émission, ndlr) ? Vous imaginez, on enlevé tous les arbres, or, le premier facteur d'anti-pollution et de production d'oxygène, c'est l'arbre ! On enlève tous les arbres, et on met des m**des qui demandent de l'énergie pour produire, pour aspirer ! C'est une aberration !", a lancé dans un premier temps, folle de rage, la chroniqueuse de 67 ans.

"Je déteste ce catastrophisme qui pourrit l'ambiance, à quelques mois des JO...", a répondu son camarade Damien Canivez,l'un des chouchous de Pascale de La Tour du Pin dans l'émission. De quoi agacer encore un peu plus Isabelle Morini-Bosc : "Arrête ! Je veux pas entendre ça ! Quand il n'y aura plus un arbre, et qu'on sera 9 milliards, avec que des trucs minéraux qui demandent de la production, de générer de l'économie électrique, et qu'on sera là à crever du manque d'oxygène ou de la pollution... Je ne comprends pas comment quelqu'un d'intelligent comme toi peut dire une connerie comme ça !", a-t-elle hurlé.

"Mais t'en as partout des arbres ! Simplement, tu n'en as pas à cet endroit parce que...", a répliqué Damien Canivez, avant d'être coupée par sa voisine de table, furieuse et visiblement toujours en total désaccord avec lui : "Non t'en as pas partout, il y en a de moins en moins, tout ce qu'on est en train d'abattre à Paris, dans toutes les villes, partout !" Des tensions rapidement apaisées par Pascale de La Tour du Pin. "Allez, allez, allez (...) Ça suffit !", est intervenue l'ex-journaliste de BFMTV au bout de quelques instants, afin de calmer ses chroniqueurs et de reprendre le fil du programme. Heureusement, l'émission a pu ensuite suivre son cours, dans une ambiance bien moins délétère !