Une femme amoureuse et épanouie ! En général particulièrement discrète sur sa vie privée, et notamment sur ses histoires de coeur, Marina Hands a accepté d'ouvrir les portes de son jardin secret, ce jeudi 21 décembre dans les pages du magazine Gala. Et y dévoile notamment ce qui la rend si heureuse, en cette fin d'année : son compagnon, qui lui a rendu confiance en l'amour ces derniers mois.
S'il n'est, bien sûr, pas question d'en dévoiler trop sur lui, bien que l'on sache que ce mystérieux amoureux "ne vit pas à Paris et exerce un métier loin de son univers artistique", l'actrice semble avoir trouvé dans ses bras une véritable sérénité. "Je découvre la force de la complémentarité. Cela faisait plus de dix ans que je me disais que l'amour n'était peut-être plus pour moi. Je n'y croyais plus !", a-t-elle notamment raconté. Il faut dire qu'il y a dix ans, la quadragénaire vivait une rupture difficile avec le chanteur Julien Doré, qu'elle avait décrit comme "son grand amour" malgré la séparation, et avait eu, comme lui, beaucoup de mal à se remettre de la situation.
"La quête du bonheur"
Aujourd'hui, pourtant, alors que Julien Doré a lui-même refait sa vie et est même devenu papa d'un adorable garçonnet, Marina Hands a retrouvé le bonheur : "Je suis submergée et rassurée que cette chose merveilleuse existe. Je le dis à mes copines, 'Se raconter que ça n'est pas important est une erreur'. Je suis fascinée par la force que cela donne. La quête du bonheur n'est pas de l'égoïsme. Quand on est épanouie, on peut mieux aider les autres, cela permet la générosité", conclut-elle sur le sujet.
Un bonheur qui l'apaise, elle qui a longtemps cherché sa véritable place, entre le théâtre et le cinéma et derrière ses parents (le réalisateur britannique Terry Hands et l'actrice française Ludmila Mikaël) : "J'ai été une jeune femme en colère. Je trouvais le monde violent et terrible. Enfant, je n'étais pas heureuse à l'école. J'avais envie de m'échapper, d'avoir une vie à moi. Lorsque je suis devenue comédienne, je n'ai pas souffert d'être une 'fille de' mais plutôt d'être considérée comme une privilégiée qui vivait dans les beaux quartiers et ne pouvait pas être connectée avec la réalité".
Mais aujourd'hui, cette "pure Parisienne" est heureuse, enfin épanouie... et on espère que cela va durer !