Depuis sa participation à Familles nombreuses : la vie en XXL sur TF1, Amandine Pellissard est devenue la coqueluche des médias ! Sur la Toile, celle qui vient d'accoucher prématurément de son neuvième enfant a également la chance d'avoir une importante communauté qui suit tout son quotidien avec attention. Grâce à sa notoriété, la pétillante blonde travaille avec d'innombrables marques, enchaînant ainsi les placements de produit. Mais depuis que le rappeur Booba s'est lancé dans la guerre contre les "influvoleurs", l'univers des influenceurs a quelque peu changé. En effet, le gouvernement s'est intéressé de plus près à ce milieu très lucratif qui pendant longtemps n'a jamais été réglementé. Période à présent révolue ! Après d'innombrables scandales, Bruno Le Maire, l'actuel ministre de l'Économie, a fait adopter une loi pour mieux encadrer les pratiques des uns et des autres tout en protégeant les consommateurs.
Dorénavant la DGCCRF, la Direction générale de la concurrence, de la consommation, et de la répression des fraudes, est à l'affut du moindre post des influenceurs. Et gare à ceux qui enfreignent les règles. Dernièrement, c'est Amandine Pellissard qui en a fait les frais ! Ce jeudi 10 août 2023 sur X (anciennement Twitter), l'organisme l'a accusée d'avoir orchestré par le passé une publicité illicite. Les story de la mère de famille étaient axées sur des "prestations de médecine esthétique d'une prestataire non qualifiée". La star a bien évidemment réagi à cette sanction via sa story Instagram : "Je m'étais déjà exprimée à ce sujet, j'avais été convoquée il y a un an environ. Ceci concerne uniquement la période 2020 et début 2021 concernant les hashtags sponsorisés. À l'époque, je débutais sur Instagram et j'ignorais le caractère obligatoire de cela. Mais depuis le temps est passé, je ne suis plus en agence."
Ça ne me dérange absolument pas
Considérant n'avoir rien à se reprocher, l''épouse d'Alexandre Pellissard assume pleinement cette décision : "Maintenant au moins c'est plus clair pour tout le monde au niveau des lois attribuées à notre métier. Donc voilà, ça ne me dérange absolument pas." Une réponse qui clouera le bec à ses détracteurs ! Pour rappel auprès de sa communauté, l'acolyte de Jeremstar avait vanté les mérites d'une prestation de chirurgie esthétique. Plus précisément, "des injections d'acide hyaluronique et de botox". Toutefois, la prestataire qu'elle mettait en lumière n'avait pas les "qualifications requises pour effectuer de tels actes médicaux".