Si Angelina Jolie et Brad Pitt ont choisi un château français (à Miraval) comme pied-à-terre en Europe, Amal Alamuddin et George Clooney misent quant à eux sur un manoir anglais. Le DailyMail dévoile des photos de la demeure qu'ils auraient acquise en Grande-Bretagne, sur l'une des îles de la Tamise, pour un montant de 12,7 millions d'euros (10 millions de livres).
Une bâtisse somptueuse comptant neuf chambres, une bibliothèque, une salle de gym, un spa et un bain à vapeur. La présence du couple après le mariage à Venise n'est en tout cas pas passée inaperçue puisqu'un habitant du village de Sonning dans le Berkshire a tweeté le message suivant : "George Clooney a acheté une maison dans mon village et a bu un verre dans le bar local (The Bull Inn). On va devenir meilleurs amis." L'ancien propriétaire du manoir, un banquier nommé Omar Bayoumi, a confirmé l'avoir vendu, mais n'a pas voulu divulguer le nom du nouvel acquéreur.
Après leur somptueuse noce à Venise, entre cérémonie symbolique fastueuse le 27 septembre et mariage civil sobre le 29, George et Amal ont choisi, non pas d'aller aux Seychelles comme le voulait la rumeur, mais de se remettre de leurs émotions en Angleterre, le pays de la charismatique et influente avocate. Fan de la série Downton Abbey - George Clooney va d'ailleurs y jouer les guests -, Amal Alamuddin doit adorer sa nouvelle résidence. Avec leurs emplois du temps chargés, ils ne risquent pas d'y passer beaucoup de temps cependant, c'est du moins ce qu'imaginent les habitants du village interrogés.
Les deux tourtereaux se sont déjà remis au travail. George Clooney a fait une apparition remarquée au Comic-Con à New York pour y dévoiler les premières images de Tomorrowland, madame Clooney se prépare de son côté pour un voyage professionnel en Grèce, du 13 au 16 octobre. Elle y discutera d'un retour en Grèce des frises du Parthénon d'Athènes, actuellement exposées à Londres. Une mission qui doit enchanter son nouvel époux car, lors de la promotion de Monuments Men, il avait soutenu l'idée d'un retour de ces fameuses frises, une manière de faire écho avec le propos de sa réalisation sur la récupération de oeuvres d'art volées par les nazis.