André Pierre Gignac : Rencontre avec un bébé prénommé... Andre Gignac !

Ancien attaquant star de l'Olympique de Marseille et habitué du podium des meilleurs buteurs de la Ligue 1 (21 buts la saison passée), André-Pierre Gignac officie aujourd'hui au Mexique comme numéro 10 de l'équipe des Tigres UANL. Toujours très efficace face aux filets, le Français a rapidement pris ses marques outre-Atlantique et ne montre aucun signe de mal du pays. Il faut dire que les supporters locaux lui ont réservé le meilleur accueil.

Certains fans du club mexicain vont même très loin pour prouver leur attachement à leur attaquant fétiche, qui a rejoint officiellement les effectifs du club au mois de juin dernier. En témoigne la récente naissance du fils d'un grand fan des Tigres qui a choisi d'appeler sa progéniture Andre Gignac Quistian Palomo. Un bel hommage !

Jeudi 29 octobre, le footballeur - absent de toute sélection en équipe de France depuis près d'un an - faisait la rencontre de cet attendrissant nouveau-né et de leurs parents, très émus par cette présentation et leur rencontre avec le joueur, et vêtus d'un maillot du club. Le bébé, lui-même enveloppé dans un t-shirt aux couleurs de la formation mexicaine, a fini dans les bras d'André-Pierre Gignac qui n'a pas hésité à le cajoler et à faire quelques photos avec lui, pour le plus grand bonheur des parents. L'enfant s'est même vu offrir par Dédé un maillot dédicacé qu'il portera sans doute fièrement d'ici quelques années. Un moment émouvant que l'antenne de Televisa Monterrey a immortalisé en images : un reportage à découvrir dans notre player vidéo.

Ce touchant moment de vie intervient alors que les rumeurs se font de plus en plus insistantes quant à la possible arrivée de Zlatan Ibrahimovic, attaquant star du Paris Saint-Germain, au sein de l'équipe des Tigres de Monterrey, où officie Gignac. Le club mexicain serait prêt à aligner les chiffres sur son chéquier pour s'offrir le buteur, dont le contrat avec le PSG arrive à son terme en juin prochain. Du côté du staff du joueur, on se refuse à tout commentaire, cela va sans dire.

Joachim Ohnona