Anne Charrier (49 ans) et Frédéric Diefenthal sont les têtes d'affiche du téléfilm En attendant un miracle, diffusé ce soir sur France 3. Une fiction qui traite de la mort du docteur Debulac à Lourdes, lequel faisait partie du Comité médical international de Lourdes, qui valide les guérisons dites miraculeuses. Anne Charrier (alias Fiona) va donc mener l'enquête.
La comédienne que l'on a pu voir dans la série à succès Alex Hugo est une maman de deux enfants : Suzanne (21 ans) et Emile (17 ans). Une progéniture qu'elle n'expose pas ou très peu sur les réseaux sociaux. Quelques images ont néanmoins été dévoilées sur Instagram et l'on peut aisément observer que sa fille lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Une enfant qui a du caractère à en croire sa mère. "Je pense que ma fille de 15 ans me trouve super plouc, elle ne veut plus du tout que je la dépose au lycée, préférant que je la laisse des kilomètres avant. Mes enfants trouvent que je fais un métier cool, ils adorent venir au théâtre le vendredi soir, par exemple. Mais, en tant que maman, non, je ne suis pas cool, je suis plutôt une mère fouettarde : je leur fais la guerre pour les téléphones portables, je m'assure que les devoirs sont faits... On partage quand même de bons moments, je vous rassure", confiait l'actrice à Madame Figaro en 2018.
L'identité du papa n'est pas connue et la vie amoureuse d'Anne Charrier est gardée secrète.
Côté carrière, celle d'Anne Charrier a débuté peu de temps avant ses 30 ans. C'était au théâtre dans La Nuit des rois de Shakespeare. C'est ensuite au début des années 2000 qu'elle commence à travailler pour la télévision (H, Avocats & associés, La Crim' puis Léa Parker, Julie Lescaut...) et quelques années plus tard pour le cinéma (MR73, Mes héros, La stratégie de la poussette, Just a gigolo...).
C'est grâce à la série de Canal+ Maison Close qu'elle devient célèbre. Elle y interprétait le rôle de la prostituée Vera. "J'étais assez vulnérable sur ce point, j'avais prévenu mes parents en leur disant de s'armer. Ma mère m'a répondu en rigolant : 'On t'a déjà vue morte à la télé, ma chérie, ça ne peut pas être pire'", avait-elle confié au Parisien.