Il a volé la vedette à tout le monde. Le prince Louis, plus jeune fils du prince William et de Kate Middleton âgé de 4 ans, était très agité lors du jubilé de la reine Elizabeth II du jeudi 2 au dimanche 5 juin. Son comportement a beaucoup amusé les observateurs, qui n'ont pas manqué de remarquer son petit moment de complicité avec son arroère grand-mère le premier jour des festivités.
Alors que le jeudi 2 juin marquait le début du jubilé de Platine avec la parade Trooping the Colour et l'apparition de la famille royale sur le balcon du Palais de Buckingham, le prince Louis lui, trop craquant dans sa petite tenue, ne se demandait qu'une chose, à savoir si Les Red Arrows (patrouille acrobatique de la Royal Air Force) allaient venir. Une question qu'il s'est empressé de poser à la souveraine, qui lui a répondu un "Je l'espère". Les avions sont finalement apparus dans le ciel quelques instants plus tard, provoquant alors la joie du petit garçon. "Oui, oui, oui !", s'est-il réjoui, avant de se retourner vers son arrière grand-mère, qui a lui a répondu : "Ça y est". Une discussion beaucoup trop craquante, décortiquée par Jeremy, Freeman, un expert en lecture labiale, sollicité par le Mirror pour déchiffrer cette conversation.
Outre cette séquence, qui n'a pas manqué de faire fondre les internautes, Elizabeth II a été aperçue à plusieurs reprises en train d'esquisser quelques sourires à son arrière petit-fils, et ce malgré sa difficulté à rester en place. Car oui, malgré ses airs de petit garçon innocent, le prince Louis n'a pas toujours été très sage durant ce jubilé, multipliant les grimaces, les cris et les danses pour amuser la galerie. Kate Middleton a dû intervenir plus d'une fois pour tenter de calmer le petit Louis. La princesse Charlotte n'a pas hésité non plus à jouer les mamans en réprimandant son petit frère.
"C'est dur pour eux. Ils sont tous jeunes... c'est long", s'était notamment exprimé l'ancien rugbyman Mike Tindall afin d'expliquer l'attitude du petit garçon. Quoiqu'il en soit, le prince Louis était assurément, et sans contestation possible, la véritable star du jubilé, volant alors presque la vedette à son arrière grand-mère. Le vilain !