Pas deux fois la même erreur... A quelques semaines de son mariage, Michael Jordan a décidé de faire signer à sa future épouse un contrat de mariage, histoire de protéger sa fortune estimée à 650 millions de dollars (500 millions d'euros). Et éviter la mésaventure de son précédent divorce qui l'avait délesté de 168 millions de dollars (130 millions d'euros) et d'une immense demeure à Chicago. Pas de quoi remettre en cause le mariage à venir pour autant.
Et pour cause. Yvette Prieto, la future femme du légendaire basketteur, pourrait tout de même toucher le pactole en cas de séparation. Le contrat de mariage dévoilé par The National Enquirer stipule que si divorce il devait y avoir, chacun repartirait avec ce qui lui appartient. Mais en cas de divorce donc, Yvette Prietto, 33 ans, recevrait également 1 million de dollars par année de mariage avec le mythique numéro 23 des Bulls de Chicago. Si le mariage devait tenir dix ans avant une hypothétique séparation, c'est 5 millions de dollars pour chaque année de mariage que toucherait la jeune femme d'origine cubaine...
Pas de quoi toutefois faire vaciller un mariage qui devrait se tenir le 27 avril prochain. Un proche d'Yvette Prieto a ainsi indiqué que la signature de ce contrat ne lui posait pas de problème dans la mesure où elle ne doutait pas qu'elle n'aurait jamais à se séparer de son homme. "Elle sent qu'ils ont une relation très forte. Elle ne peut pas imaginer qu'ils se séparent un jour", a ainsi indiqué une source proche du couple. La même source indique que la belle n'ignore rien du passé volage de Michael Jordan "tout comme son ami Tiger Woods", un temps aujourd'hui révolu comme veut le croire la future épouse. "Ils sont tous les deux très heureux et impatients de se marier", conclut ainsi ce proche du couple.
Une impatience à peine entamée par la petite affaire qui a secoué le couple ces dernières semaines. Une femme, Pamela Smith, prétendait avec force que son fils était le fruit d'une relation sexuelle qu'elle avait eue avec le basketteur de 50 ans. Elle avait ainsi demandé une reconnaissance en paternité auprès du tribunal, allant jusqu'à exiger un test ADN. Avant de subitement retirer sa demande...