Selena Gomez accro aux médicaments et à bout de nerfs ? Un "proche" balance

Une semaine après l'annonce choc de l'annulation de sa tournée, les rumeurs vont bon train concernant l'état de santé de Selena Gomez. Il y a quelques jours, la popstar de 24 ans a fait savoir qu'elle mettait en pause sa carrière pour une durée indéterminée, officiellement à cause de crises d'angoisse et d'une dépression. Un passage à vide qu'elle a justifié par l'effet secondaire du lupus, une maladie chronique dont elle souffre depuis deux ans et qui affecte son système immunitaire.

Sans surprise, les fans se sont inquiétés pour leur idole tandis qu'en coulisses, les ragots ne sont pas tendres avec l'interprète de Same Old Love. Selon les informations du site RadarOnline, un tabloïd en ligne, Selena Gomez serait complètement déboussolée. "C'est terrible qu'elle souffre du lupus, mais cela lui sert d'excuse à tout bout de champ ces derniers temps. La vérité, c'est que c'est juste une épave en ce moment. Elle se sent désespérément seule", a balancé un soi-disant proche de la popstar.

La même source précise que le décès tragique et brutal de son amie, la chanteuse Christina Grimmie, l'a précipitée dans une "spirale infernale" contre laquelle elle tente de lutter à grand renfort de substances médicamenteuses. "Elle a commencé à prendre du Lexomil, du Clonazépam et du Xanax", rajoute un autre informateur. Un cocktail d'antidépresseurs et de somnifères extrêmement dangereux et potentiellement mortel, à haute dose, qui inquiète son entourage. Affectée par le décès de son amie, et la nouvelle relation de son ex Justin Bieber et la jeune Sofia Richie, Selena Gomez aurait reçu le soutien de ses proches qui l'auraient sommée de se faire admettre en cure de désintoxication.

Rappelons que ce n'est pas la première fois que la chanteuse est fait l'objet de telles rumeurs. Il y a deux ans déjà, la presse tabloïd avait spéculé sur une éventuelle dépendance à la drogue pour justifier son admission dans un centre spécialisé où elle avait en réalité subi... une chimiothérapie.

Coline Chavaroche