Nouvelle déception pour Anaïs Camizuli. Alors qu'elle devait faire face à la fan déséquilibrée qui la harcèle depuis sept ans et qui menace de kidnapper sa fille Kessi (un an) au tribunal, la gagnante de Secret Story 7 (2013) a vu le procès une fois de plus reporté.
Depuis début mars, la belle Marseillaise de 33 ans n'avait pas évoqué cette affaire qui fait froid dans le dos. Mais, questionnée sur le sujet par de nombreux internautes, Anaïs Camizuli a souhaité donner quelques nouvelles en story Instagram, le 14 juin 2021. L'occasion de découvrir que ce n'est finalement pas ce mois-ci qu'elle se retrouvera face à la femme qui la harcèle. "Le procès a été reporté au mois de juin et devait avoir lieu vendredi dernier. Mais elle ne s'est pas présentée, sans grande surprise. Je pense qu'elle a un peu peur, si tu n'as rien à te reprocher, tu te présentes. La dernière fois, en janvier ou février, c'était un problème de dents et cette fois-ci, elle a présenté un test de Covid positif. Procès reporté sans grande surprise. Février 2022 c'est loin mais en même temps c'est rapide. Je me dis que le temps passe vite. J'ai attendu sept ans, je peux attendre encore quelques mois, même si ça commence à me fatiguer un peu", a-t-elle tout d'abord confié.
Anaïs Camizuli sait que, quoi qu'il arrive, elle se retrouvera enfin face à la femme de 37 ans au tribunal et est convaincue qu'elle "sera punie". Elle a une totale confiance en la justice et en son avocat. "On ne va rien lâcher, on va se battre jusqu'au bout. Elle va payer. Le comble, c'est qu'elle veut porter plainte contre moi pour diffamation parce que j'ai dit dans une interview que si elle n'avait rien, j'allais balancer son nom et son prénom, ce que je n'ai pas fait. Donc sa plainte n'ira nulle part. C'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité. Mais j'ai l'habitude avec elle, elle retourne toujours la situation", a poursuivi la maman solo qui a hâte d'être en février 2022 pour écouter sa défense.
"Tu ne vas pas pouvoir te défendre, oui je m'adresse à toi parce que je sais que tu regardes tout, que tu captures tout et que tu envoies tout à ton avocat. Tu peux tout enregistrer, sûrement en février tu auras une constipation ou une grosse diarrhée. Mais à un moment tu vas payer. Je pense que la justice en a marre. Il y a toutes les preuves. Je ne suis pas la seule que tu harcèles et que tu menaces. (...) Pour menacer d'enlever des enfants, de divulguer des photos, de donner l'adresse de la crèche... tu as des grosses couilles. Mais pour assumer il n'y a plus personne. Donc j'espère qu'en février 2022, les grosses couilles que tu as pour menacer ma fille, tu les auras devant le juge", a conclu Anaïs Camizuli.
C'est fin janvier 2021 qu'Anaïs Camizuli a évoqué cette sordide histoire pour la première fois lors d'une interview pour La Provence. Tout a commencé après sa sortie de la Maison des Secrets en septembre 2013. Comme elle l'a confié en mars à Jeremstar, la femme la suivait partout et a même trouvé où elle résidait. Une première plainte a été déposée en 2015 après qu'Anaïs a découvert que cette fan avait usurpé son identité pour obtenir sa puce de téléphone portable. Les choses se sont calmées jusqu'à ce que l'ancienne candidate de télé-réalité devienne maman. "En mars 2020, pendant le premier confinement, elle m'identifie sur sa story en me disant que c'est urgent, qu'il faut que je la contacte. 'Je t'écris parce que j'ai des photos de ta fille'. Elle me dit : 'Des photos de la crèche'. Déjà de base, ma fille je ne l'affiche pas, j'essaie de la préserver un maximum. Elle me dit : 'Je connais l'adresse de la crèche de ta fille. Et tu sais très bien, de quoi je suis capable'", expliquait-elle notamment. Elle a également menacé d'enlever Kessi, une situation insoutenable pour Anaïs. Elle a donc de nouveau porté plainte et aujourd'hui, elle attend toujours le procès.