Onde de choc au Royaume-Uni. Quelques jours seulement après l'annonce des opérations successives de Kate Middleton et du roi Charles III à la London Clinic, le palais de Buckingham a fait une annonce choc : le roi est atteint d'une forme de cancer pour laquelle il a déjà débuté des traitements. L'annonce est d'autant plus surprenante que le souverain s'est montré le 4 février dernier en pleine forme au bras de la reine consort Camilla, première sortie après son départ de l'hôpital.
Si la nature du cancer n'a pas été précisée, le palais de Buckingham a écarté l'idée qu'il concernait la prostate. La maladie aurait toutefois été détectée suffisamment tôt pour que les espoirs de guérison soient permis. Mais malgré les dires de la Couronne, l'arrivée en urgence du prince Harry sur le sol britannique, du jamais vu depuis le couronnement, pourrait bien révéler un niveau plus important que prévu sur l'échelle de la gravité. Stéphane Bern s'est livré sur cette période inédite traversée par la famille royale britannique. S'il n'est pas médecin, le compagnon de Yori Bailleres a toutefois une petite idée de l'origine du cancer de Charles.
"Je pense davantage que les cancers sont provoqués par des chocs et que Charles III en a subi de gros ces dernières années, entre le départ de Harry et Meghan, la mort de sa mère et les nombreuses critiques qu'il essuie depuis son accession au trône" a déclaré Stéphane Bern dans un entretien pour Paris Match. Pour lui, les tensions incessantes depuis des mois entre Harry et le reste de la famille, parmi les autres problèmes qui ont touché la monarchie, n'y sont donc pas pour rien.
Stéphane Bern poursuit, précisant un trait de caractère de Charles III que peu de personnes soupçonnent : "Charles III est un homme profondément sensible. Tout le monde l'imagine comme quelqu'un de froid en raison de son histoire avec Diana, mais il ne faut pas oublier qu'il a pleuré comme un enfant à l'annonce de sa mort. Son père, le duc d'Édimbourg (le prince Philip, ndlr) lui a d'ailleurs beaucoup reproché cette trop grande sensibilité." Une sensibilité qui lui attire néanmoins toute la sympathie du Royaume-Uni aujourd'hui, un soutien crucial dans cette bataille.