David Bisbal : Le séduisant chanteur espagnol et sa belle Elena sont... papa et maman !

La France fait sans doute partie des derniers pays à n'avoir pas (ou que très peu) succombé à David Bisbal : le chanteur espagnol, révélé par la première édition de la Star Academy ibérique (Operacion Triunfo) dont il disputa la finale, a allègrement franchi les frontières du pays de Cervantes pour conquérir le monde et partager quelques duos de premier choix, notamment avec Jessica Simpson sur Angels lors des Latin Grammy Awards 2003 qui l'élirent Révélation de l'année, avec Rihanna sur Odio que te amo (version anglo-hispanophone du Hate that I love you que la star caribéenne chantait avec Ne-Yo), ou encore, dernièrement, avec K'Naan sur Wavin' Flag (un titre retenu pour la Coupe du Monde de football en Afrique du Sud) et la révélation britannique Pixie Lott sur Sufriras.

Heureusement pour lui, le chanteur, âgé de 30 ans, n'a pas attendu que les Frenchies succombent à la fièvre hispanique pour connaître un autre grand bonheur dans sa vie : celui de devenir papa !

La presse espagnole s'en réjouit aujourd'hui : David Bisbal et sa compagne Elena Tablada sont les heureux parents d'une petite Ella Bisbal Tablada, qui pesait 3,100 kg à sa naissance, le 15 février dans un hôpital de Miami, selon un communiqué officiel du chanteur, qui précise que les deux femmes de sa vie se portent comme des charmes. Le prénom de la fillette honore une tradition familiale bien ancrée du côté de la maman, qui veut que toutes les femmes portent pour prénom Elena - ou un prénom approchant.

Vedette des charts ibériques (chacun de ses quatre albums s'est classé en tête des ventes, avec des résultats commerciaux exceptionnels), David Bisbal a convaincu d'autres contrées (dont une partie de l'Europe : Allemagne, Roumanie, etc.), y compris les Etats-Unis : sa quatrième réalisation, Sin Mirar Atras, a passé le cap des 3 millions de ventes dans le monde et s'est octroyé, dans la foulée de son single Esclavo de sus besos, la première place des charts latino au pays de l'oncle Sam !

Florilège de la production de l'hombre en vidéo ci-dessus.

G.J.