Cette fois-ci, Jeanfi Janssens a décidé de parler de lui à son public. Avec Tombé du ciel, son deuxième spectacle, l'humoriste originaire du Nord de la France parle de sa vie, de ses proches, dont sa mère Hélène, sa "muse" et de son ancienne vie de steward chez Air France. Un spectacle plus personnel pour celui qui a fêté ses 50 ans l'an dernier et qui n'hésite pas à parler de son célibat. Installé dans un bel appartement parisien avec sa chatte Duchesse, le sociétaire des Grosses Têtes ne fait aucunement mystère de son célibat.
Pourtant, ce n'est pas faute d'essayer et Jeanfi Janssens a même eu plusieurs relations sérieuses au cours des dernières années, mais qui se sont à chaque fois soldées par des échecs : "J'ai eu des histoires amoureuses qui ont été catastrophiques. Les deux dernières, c'était vraiment...", confie-t-il dans En privé avec, le nouveau rendez-vous de Purepeople. Visiblement, l'un des deux était plutôt avec lui par intérêt que par amour : "Il y en a un qui m'a demandé un appartement par Stéphane Plaza et une fois qu'il l'a eu, je ne l'ai plus jamais vu !"
Malheureux en amour, Jeanfi Janssens, qui s'est également confié avec émotion sur les problèmes financiers de sa famille dans cette même interview, a connu une deuxième déception amoureuse. "On a eu une relation de deux ans. Il avait des plannings très chargés parce qu'il travaillait pour une grosses organisation", commence par expliquer l'humoriste, avant d'en venir sur les raisons de la fin de cette idylle : "Au bout de 2 ans, il m'a présenté sa femme... dont je n'avais pas eu connaissance. Je ne savais même pas qu'il était bi, ou quoi que ce soit. Au bout de 2 ans, il m'a invité au restaurant, je me suis dit : 'Oh, super, c'est romantique !' Je suis arrivé au restaurant, il y avait une fille à la table, j'ai dit : 'Bah, c'est qui ?'."
Son compagnon de l'époque lui a alors présenté sa femme, ce qui a mis un terme à leur histoire : "Je suis parti et je ne l'ai plus jamais revu", conclut Jeanfi Janssens.
Propos exclusifs ne pouvant être repris sans la mention Purepeople.