Le prince Harry à Londres : son caprice non négociable malgré la maladie de son père, Camilla concernée

En apprenant que Charles III avait un cancer, son fils le prince Harry, installé à Los Angeles, a fait un aller-retour express à Londres. Son but ? Aller à la rencontre de son père et lui apporter tout son soutien dans le combat contre la maladie, lui qui a annoncé quelques heures plus tôt par le biais du palais de Buckingham, être atteint d'une "forme de cancer" pour laquelle il a déjà débuté des traitements.

Au cours de cette visite sommaire et expéditive, puisqu'elle a duré moins d'une heure, le prince Harry s'est entretenu avec son papa mais a eu une exigence bien particulière pour que ce rendez-vous ait lieu : celle de ne pas voir sa belle-mère Camilla Parker-Bowles.

Petronella Wyatt, journaliste et proche de Camilla Parker Bowles, a confié aux médias The Telegraph l'aversion qu'avait Harry pour Camilla et l'exigence qu'il a eue en débarquant à Londres : "J'ai entendu dire qu'il préférait ne pas être dans la même pièce que sa belle-mère lorsqu'il parlait au roi de son diagnostic de cancer." Autant dire que s'il semble pouvoir faire table rase du passé avec son père pour améliorer leurs relations, c'est loin d'être le cas avec Camilla.

Est-ce lui qui n'a pas voulu voir Camilla ou est-ce l'inverse ? Les deux sont en tout cas possible. Dans Spare (Le Suppléant), les mémoires qu'il a publiées, le prince Harry n'y allait pas de main morte pour écorner l'image de celle qu'il considère comme principale responsable du divorce de ses parents. Le mari de Meghan Markle l'avait notamment qualifiée de "dangereuse" et de "méchante."

Le prince Harry est allé encore plus loin, affirmant que Camilla Parker-Bowles avait des liens avec la presse britannique et vendait des informations le concernant. Une sorte d'échange de bons procédés puisqu'en retour, Camilla aurait attendu des médias qu'ils redorent son image et améliorent sa réputation après avoir brisé le mariage de Diana et Charles. Ces attaques, Camilla, protocole oblige, n'y a jamais répondu, mais elle ne reste pas insensible à en croire l'une de ses amies : "Bien sûr que cela la dérange, bien sûr que ça lui fait du mal. Mais elle ne se laisse pas atteindre. Sa philosophie est toujours la même : 'N'en faites pas une montagne, tout finira par s'arranger.' Moins on en dit, plus vite on oublie.'" Le silence est d'or comme on dit...