Sa frimousse parfaite a charmé la plus grande des maisons de beauté française - elle a récemment rejoint le clan très fermé des égéries L'Oréal - et nous éblouit une fois encore cette semaine dans L'Express Styles.
Leïla Bekhti, ravissante brune de 27 ans récipiendaire cette année du César du meilleur espoir féminin, se révèle femme fatale dans les pages de l'hebdomadaire consacré spécialement à Paris cette semaine. En pin-up des temps modernes, elle joue avec l'allure masculin-féminin, avec talent et sensualité : une transformation savoureuse.
Celle qui est passée par le 64e festival de Cannes en tant que L'Oréal Girl mais également pour la projection du film La Source des femmes, de Radu Mihaileanu , a révélé dans son interview à quel point elle se sentait privilégiée d'exercer un métier si particulier et agréable.
Elle a affirmé avoir donné sa statuette à Géraldine Nakache, réalisatrice du fameux film Tout ce qui brille avec Hervé Mimran, devenue son amie. "Elle le méritait : pendant quatre ans, elle a tenu bon face aux producteurs qui lui demandaient pourquoi il n'y avait ni voitures qui brûlent, ni stars, ni tensions intercommunautaires dans son histoire", a-t-elle confié.
L'actrice, qui souhaitait "être éducatrice ou caissière, ou plutôt 'aideuse' ou 'caisseuse'", a affirmé se sentir aussi bien en banlieue qu'à Paris, où elle partage son quotidien avec son compagnon , Tahar Rahim, rencontré sur le tournage d'Un Prophète, de Jacques Audiard.
A propos d'un mariage qui aurait été célébré entre eux, la journaliste a tenu à les féliciter, ce à quoi Leïla, discrète quant à sa vie privée, a répondu avec un sourire : "Je ne vois pas du tout de qui ni de quoi vous me parlez..."
Elle a conclu, affirmant sa position : "Vous remarquez qu'on ne se montre jamais ensemble ! Ce n'est pas le fruit d'une reflexion. Je n'en parle pas, je ne dis pas son nom. Je n'en ai pas envie, c'est tout. Mon instinct me dit de me taire. Le sien aussi."
Son bonheur, elle le vit au creux de son épaule (son "coin de paradis") : un choix judicieux, qui lui réussit !