C'est dans les pages du magazine Point de vue que l'on retrouve un reportage sur les coulisses de cette union, agrémenté de photos de l'événement. On apprend ainsi que la robe de mariée classique d'Émilie Broussouloux lors de la cérémonie à l'église – elle portait une autre tenue à la mairie –, a demandé beaucoup de travail.
La robe de l'épouse de Thomas Hollande est une création de Fabienne Alagama, "styliste qui tient boutique dans la capitale, rue de Courcelles", précise le magazine. "Émilie cherchait une robe traditionnelle avant tout, je lui ai donc créé un modèle unique mêlant tradition et modernité", a déclaré la styliste. Résultat : une très jolie robe en organza de soie et dentelle de Calais rebrodée de perles de verre. "La robe a nécessité environ 200 heures de travail, dont 50 heures pour le travail d'incrustation des dentelles à la main. Émilie a fait une dizaine d'essayages pour ce tombé parfait", écrit Point de vue.
Sur Instagram, la mariée a posté un message de remerciements pour sa robe. "La fin d'une merveilleuse aventure... Mais aussi le début d'une nouvelle. Merci Camille, Rose, Ping, Caroline et Céline d'avoir travaillé pendant des mois pour créer la robe de mes rêves. Je ne te remercierai jamais assez @fabienne.alagama", a-t-elle écrit.
Émilie Broussouloux (27 ans) et Thomas Hollande (33 ans) se sont mariés civilement à la mairie de Meyssac. "Je suis très heureux que mon fils ait choisi une Corrézienne. J'aurais bien voulu qu'elle soit de Tulle, mais qu'est-ce que vous voulez, elle est de cette partie de la Corrèze, j'y peux rien", a plaisanté le père du marié, François Hollande, venu sans Julie Gayet. La jeune femme a également des origines indonésiennes du côté de sa maman. Après le passage à la mairie, le couple a donc célébré son mariage à la paroisse du curé Gérard Reynal.
Thomas Montet
Retrouvez les photos et détails du mariage dans Point de vue, dans les kiosques le 12 septembre 2018.