VIDEO Mort de Gérard Leclerc : Sa veuve Julie toujours effondrée 6 mois après, "c'est dur après 40 ans de mariage..."

Déjà près de six mois que Gérard Leclerc est décédé. Le 15 août dernier, le journaliste s'est écrasé alors qu'il était à bord d'un avion de tourisme qu'il pilotait lui-même, à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique). Une triste nouvelle qui a suscité bon nombre de réactions au sein du paysage audiovisuel français. Le demi-frère du chanteur Julien Clerc laisse derrière lui son épouse Julie, star d'Europe 1, et leurs trois enfants : les jumeaux Antoine et Mathieu (nés en 1982) et Charlotte (née en 1987). Sur le plateau de Chez Jordan (C8), Elisabeth Levy, collègue du défunt dans L'heure des pros sur CNEWS, donne des nouvelles de ses proches.

La polémiste de 59 ans n'a pas de contact direct avec Julie, désormais veuve. Mais elle a eu des nouvelles "par l'intermédiaire de gens". Et quelques mois après le drame, il est encore difficile pour la femme de Gérard Leclerc de faire son deuil. "Je pense que c'est dur. C'est l'homme de sa vie. Ils ont construit une super famille. Gérard me parlait de ses enfants, il était très fier. Je sais que Julie est entourée, mais vous imaginez au bout de 40 ans de mariage...", déclare Elisabeth Levy.

Par ailleurs, la chroniqueuse de Pascal Praud se console en se disant que son camarade "est mort en faisant quelque chose qu'il adorait : piloter un avion". "Ce que je sais, c'est que Gérard était un pilote émérite."

Ils n'étaient pas spécialement très amis, mais ils avaient du respect l'un pour l'autre. Et ils s'appréciaient. "J'aimais beaucoup Gérard. D'abord parce que c'était un bon garçon, un bon camarade, un type vraiment adorable, commence Elisabeth Levy. Et par ailleurs, parce que j'aimais bien aussi me chamailler avec lui. (...) Je lui suis très reconnaissante pour ça, mais aussi pour les discussions. Comme on habitait dans le même quartier, il nous arrivait parfois de repartir en même temps. On ne se voyait pas en dehors, mais j'avais de l'affection pour lui." La disparition du journaliste a été "un coup de massue" pour la chroniqueuse insultée par Henri-Jean Servat. "Parce qu'il apportait beaucoup au plateau aussi", estime-t-elle.