Natacha Régnier© Abaca
La suite après la publicité
Son regard bleu et dense envoûte : Natacha Régnier fait partie de ces comédiennes fascinantes qui font rimer talent et modestie. On la dit timide et discrète mais elle se dévoile et aborde avec une sincérité sensible sa vie amoureuse et familiale au cours d'un entretien pour le magazine Envy. L'héroïne fragile de La Vie rêvée des anges s'affiche amoureuse et épanouie. Extraits.
Séparée du compositeur Yann Tiersen, le père de sa fille Lise âgée de 8 ans, elle se souvient des beaux souvenirs : "Il m'[avait] proposé de chanter en tournée. J'ai accepté sans hésiter. On a voyagé dans le monde entier pendant plus d'un an : c'était magique !" Toutefois, elle n'hésite pas à parler des choses plus difficiles : "Une rupture, c'est, avec le décès d'un proche, l'un des plus grands désespoirs de la vie. J'ai eu besoin de couper le lien brutalement pour avancer."
Malgré l'épreuve douloureuse, elle est restée sensée et n'oublie pas : "Un enfant vous rappelle à tout moment son père. Et c'est joli. [...] Si la rupture n'avait pas eu lieu, je n'aurais pas rencontré Guillaume. Et Jessie, notre fille de 2 ans ne serait pas née..."
C'est ainsi qu'elle parle de Guillaume Bounaud, réalisateur et photographe : "Dès que je l'ai vu, j'ai été attirée par lui. Au bout de quinze jours, je me suis dit, c'est lui. Nous avons d'abord été amis, comme avec Yann."
Si elle se décrit comme timide et lunaire, elle ne mâche pas ses mots quand elle est en désaccord. Elle évoque l'annulation brutale de la représentation du Vieux Juif Blonde, écrite par Amanda Sthers : "Uniquement par caprice. Elle s'est disputée avec Francis Veber. Elle m'a demandé d'accepter un changement de metteur en scène ou de partir. Je devais donc être son pantin. C'était de l'irrespect pur !"
Des aléas professionnels qui ne l'empêchent de continuer sa carrière de plus belle. Elle sera à la télévision lors de la diffusion de l'opéra Marie-Antoinette sur France 2 le 2 août. Elle participera à l'émission musicale Crooner le 8 août sur Arte et enfin, elle est à l'affiche d'Orly, film de rencontres et de sentiments en salles le 11 août.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine Envy dy 29 juillet au 4 août.
Séparée du compositeur Yann Tiersen, le père de sa fille Lise âgée de 8 ans, elle se souvient des beaux souvenirs : "Il m'[avait] proposé de chanter en tournée. J'ai accepté sans hésiter. On a voyagé dans le monde entier pendant plus d'un an : c'était magique !" Toutefois, elle n'hésite pas à parler des choses plus difficiles : "Une rupture, c'est, avec le décès d'un proche, l'un des plus grands désespoirs de la vie. J'ai eu besoin de couper le lien brutalement pour avancer."
Malgré l'épreuve douloureuse, elle est restée sensée et n'oublie pas : "Un enfant vous rappelle à tout moment son père. Et c'est joli. [...] Si la rupture n'avait pas eu lieu, je n'aurais pas rencontré Guillaume. Et Jessie, notre fille de 2 ans ne serait pas née..."
C'est ainsi qu'elle parle de Guillaume Bounaud, réalisateur et photographe : "Dès que je l'ai vu, j'ai été attirée par lui. Au bout de quinze jours, je me suis dit, c'est lui. Nous avons d'abord été amis, comme avec Yann."
Si elle se décrit comme timide et lunaire, elle ne mâche pas ses mots quand elle est en désaccord. Elle évoque l'annulation brutale de la représentation du Vieux Juif Blonde, écrite par Amanda Sthers : "Uniquement par caprice. Elle s'est disputée avec Francis Veber. Elle m'a demandé d'accepter un changement de metteur en scène ou de partir. Je devais donc être son pantin. C'était de l'irrespect pur !"
Des aléas professionnels qui ne l'empêchent de continuer sa carrière de plus belle. Elle sera à la télévision lors de la diffusion de l'opéra Marie-Antoinette sur France 2 le 2 août. Elle participera à l'émission musicale Crooner le 8 août sur Arte et enfin, elle est à l'affiche d'Orly, film de rencontres et de sentiments en salles le 11 août.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine Envy dy 29 juillet au 4 août.