Nicolas Sarkozy et Carla : Virée printanière à Los Angeles avec Giulia

Début de printemps difficile pour Nicolas Sarkozy : raillé par Le Petit Journal pour une bourde lors de son discours de bienvenue au nouveaux adhérents Les Républicains et mis à mal par un Jean-Louis Debré - qui ne l'a jamais porté dans son coeur ! - sans concessions dans son nouveau livre... il avait grand besoin de se changer les idées !

L'ancien président de la République a profité des vacances scolaires pour s'envoler à l'autre bout de la planète. Direction Los Angeles avec sa douce épouse, Carla Bruni-Sarkozy, et leur fille, l'adorable Giulia, 4 ans et demi. La petite famille a atterri à l'aéroport LAX après une douzaine d'heures de vol, dans l'après-midi du samedi 16 avril. Un soleil radieux les attendait. C'est escorté par plusieurs gardes du corps que Carla, Nicolas et Giulia ont regagné la berline qui les attendait à l'extérieur de l'aéroport.

Carla Bruni devrait profiter de cette escapade américaine pour enregistrer de nouveaux titres en vue de son prochain album, qui aura la lourde tâche de succéder à l'excellent Little French Songs, paru en 2013. Un album qui a trouvé près de 100 000 acquéreurs et qu'elle avait présenté sur la scène de l'Olympia, point d'orgue d'une tournée couronnée de succès.

A défaut de s'être déclaré candidat à la primaire Les Républicains en vue de la présidentielle de 2017, Nicolas Sarkozy - qui publiait en début d'année son livre La France pour la vie, un succès en librairies - travaille sur un projet novateur : fin mars, il présentait son "contrat de redressement pour la France", applicable "dès juillet 2017", avec la suppression de "100 milliards d'euros de dépenses publiques en début de quinquennat" et un "contre-choc fiscal" de 25 milliards, a-t-il annoncé. Selon un sondage Le Parisien-Aujourd'hui en France du 16 avril, Nicolas Sarkozy, s'il était le candidat Les Républicains, serait crédité à ce jour de 19% d'intentions de votes pour les présidentielles de 2017. Un score qui pourrait grimper en cas d'absence d'Alain Juppé parmi les candidats.

Joachim Ohnona