






Pascal Obispo a eu de la chance et il n'hésite pas à remercier les personnes qui lui ont permis de se tirer d'un très mauvais pas. Si le chanteur de 59 ans est en parfaite santé aujourd'hui, les choses auraient pu mal tourner il y a quelques mois de cela. C'est dans un article rédigé par ses soins pour célébrer les 80 ans du journal Le Parisien que celui qui a été contraint d'annuler une série de concerts pour raisons médicales cet été se confie pour la toute première fois sur les soucis de santé qu'il a rencontré il y a quelques mois de cela.
Au plein coeur de l'été, Pascal Obispo ne se sent pas bien et a plusieurs symptômes que le font se rendre à l'hôpital public. "Juillet 2024, en plein été. Je suis pris en charge pour des coliques néphrétiques, un caillou dans le rein qui fait horriblement souffrir, une douleur équivalente à celle d'un accouchement. J'ai une première alerte à Paris pendant un quart d'heure, deux semaines auparavant puis une 2e, un peu plus longue, en Corse le jour de mon concert, quelques heures avant de monter sur scène", raconte pour la toute première fois celui qui a craqué en larmes lors d'un hommage à Daniel Lévi, avant d'ajouter : "Une équipe du Samu local me prend en charge et me permet d'assurer mon show que je ne pouvais pas annuler sur cette île que j'adore."
S'il peut se présenter sur scène ce soir-là, Pascal Obispo n'en reste pas moins préoccupé par sa santé. Le grand copain de Florent Pagny se rend alors dans un hôpital de sa région, à Arès, en Gironde, où un examen décèle un caillou à extraire. "Pendant cette intervention, il (un chirurgien urologue) se rend compte que j'ai un polype dans la vessie qui peut être dérangeant, plus tard... Il prend la liberté de me l'enlever. J'ai particulièrement apprécié le fait qu'il m'a évité une autre opération voire un cancer", révèle le père de Sean Obispo.
S'il a dû annuler 5 concerts à la suite de cette intervention, le chanteur a pu retrouver la scène et ses fans et il remercie plus que chaleureusement l'hôpital public et les spécialistes qui s'y trouvent. Il a d'ailleurs dû s'y rendre une seconde fois par la suite pour "une nouvelle intervention", dont il ne précise pas la nature. "On fait toujours notre possible pour que le malade se sente pris en charge comme une personnalité", lui aurait confié le chirurgien qui l'a opéré. "Chapeau bas", conclut Pascal Obispo.
Retrouvez l'article écrit par Pascal Obispo sur le site du Parisien.