Ana Girardot, 26 ans et fille d'acteurs, révèle un secret : Elle a été mariée...

C'est incontournable pour tout enfant d'acteurs, Ana Girardot est présentée tout d'abord comme la fille d'Hippolyte et d'Isabel Otero. Cependant, la jeune comédienne de 26 ans impose de plus en plus son prénom dans le cinéma et dans l'esprit des spectateurs. D'abord grâce à une performance remarquée en 2010 dans Simon Werner a disparu. Elle est désormais l'héroïne de la série acclamée Les Revenants de Canal+ dont elle tourne la saison 2, mais ce n'est pas tout. Elle est la partenaire de Guillaume Canet dans La prochaine fois, je viserai le coeur, thriller inspiré du "tueur de l'Oise" et tournera un film sur le peintre japonais Foujita. La jeune femme se raconte dans les pages du magazine Elle dont elle fait la couverture, et révèle un secret...

"En parlant de ce film noir où chacun cultive un secret, Ana Girardot livre les siens, comme le fait qu'elle a été mariée très jeune et qu'elle ne l'est plus", lit-on dans le magazine Elle. Une phrase qui surprend quand on sait qu'elle n'a que 26 ans et que jamais sa vie sentimentale n'a jamais été évoquée auparavant. On n'en saura pas plus. "Je suis très heureuse en amour et j'aime quelqu'un qui n'est pas dans le milieu du cinéma. Mais je veux absolument protéger mon jardin secret et le garder privé", disait-elle en 2013 à Paris Match. Ana abordera aussi brièvement ses frères et sa soeur : elle ne cite pas les prénoms de ses deux petits frères de 15 et 12 ans, mais le fera pour sa soeur Lillah, 17 ans, dont elle loue le regard bienveillant.

Ana Girardot est sous tous les projecteurs, mais avant cela, il a fallu se construire - et ce n'est pas fini. Elle a pris des cours de théâtre à New York, travaillant comme serveuse dans un restaurant pour les payer. Son père lui a demandé toutefois de passer son bac avant de partir en Amérique. Quand elle revient à Paris, elle claque la porte de chez sa mère quatre jours après son retour, Isabel Otero lui avait demandé de ranger sa chambre. Pour autant, ce n'est pas un drame : "C'est sain de savoir quitter le nid familial et, d'ailleurs, j'ai dit à ma mère, avec qui j'ai une relation fusionnelle, que c'était la meilleure façon de la remercier pour son éducation."

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Elle du 7 novembre