






Dans un long entretien récemment accordé à Télé 7 Jours, Benjamin Duhamel - qui brille en tant que journaliste et présentateur sur BFMTV - a mis fin aux rumeurs selon lesquelles il aurait été pistonné par ses parents, qui ne sont autre que Patrice Duhamel, ex-patron de France Télévisions, et Nathalie Saint-Cricq, cheffe du service politique de France 2 (il est par ailleurs le neveu d'Alain Duhamel).
"J'ai l'avantage de bien connaitre cette chaine (BFMTV, ndlr). J'ai gravi les échelons un à un, j'ai été reporter politique, j'ai fait beaucoup de terrain, puis de la présentation l'année dernière avec mon émission de dimanche.", a-t-il assuré. Mais les critiques, il sait y faire face. Notamment parce qu'il a l'habitude de cela, avec ses parents, et notamment sa mère.
Mais cela ne fait bien entendu jamais plaisir de recevoir des insultes... Nathalie Saint-Cricq, qui commente régulièrement l'actualité du gouvernement ou les dossiers chauds du moment, s'est confiée sur le cyberharcèlement dont elle est souvent victime. "J'ai cessé de regarder sur les réseaux sociaux. J'ai vu trop de choses désagréables... Pour de mauvaises raisons, parce que j'aurais pu m'en moquer éperdument…", a-t-elle expliqué, dans On refait la télé, dans un numéro qui sera diffusé en intégralité sur RTL ce samedi 25 janvier 2025. L'extrait a été dévoilé par nos confrères de Télé-Loisirs ce vendredi.
Heureusement, ses fils, à savoir Benjamin Duhamel donc, mais aussi Raphaël, scénariste et producteur de cinéma, sont là pour l'alerter et la soutenir, en cas de propos déplacés sur elle: "Régulièrement, quand il y a un truc, mon fils me prévient ; ou l'autre ! Ils se partagent."
"Quand il faut répondre à quelque chose de vraiment injurieux, je ne réponds pas sur Twitter mais avec un avocat.", a-t-elle ajouté. Si Nathalie Saint-Cricq agit ainsi, ce n'est pas pour s'en mettre plein les poches, mais pour reverser à des associations, comme les Restos du Coeur. Elle est également touchée par la cause animale. "J'ai récupéré 500 euros [de dommages et intérêts pour réparation de "l'atteinte portée à son droit à l'image"]… qui sont repartis aussi sec !", a-t-elle notamment raconté, en parlant de cette campagne de communication de La France insoumise dans laquelle elle s'est retrouvée à son insu, le parti affirmant alors que ses convictions étaient contraires à celles de la gauche. La justice a alors tranché en faveur de la plaignante, en ordonnant le retrait des visuels.