Cyril Hanouna, visé par une plainte pour menaces : "Cette histoire est close !"

Ce mercredi 17 février au matin, les médias ne parlaient que de ça : selon les informations du Canard Enchaîné, une plainte a été déposée contre Cyril Hanouna et sa complice et amie de toujours Enora Malagré. Julien Cazarre, chroniqueur et humoriste qui intervient dans l'émission J+1 sur Canal+ Sport toutes les semaines, est à l'origine de cette plainte pour "menaces de violences physiques". Ce dernier avait déclaré aux policiers avoir été victime par téléphone d'"insultes et de menaces physiques" et d'"appels téléphoniques malveillants".

Cet après-midi, les deux parties ont réagi dans la presse, confirmant qu'après quelques explications, tout est rentré dans l'ordre. "On s'est eu au téléphone, on s'est expliqué. Il n'y a plus aucun problème entre nous", a déclaré Julien Cazarre au micro de BFMTV.

Cyril Hanouna, quant à lui, a déclaré au blog JeanMarcMorandini.com : "Cette histoire est close. On s'est reparlé depuis, et tout va bien. En tout cas, de mon côté, je conti­nue­rai à dire directement et fran­che­ment ce que je pense aux gens sans passer par la presse. Fin de l'histoire."

Les propos auxquels Cyril Hanouna fait référence ont été prononcés par Julien Cazarre dans un entretien accordé à France Football. "On m'a proposé de participer à Touche pas à mon sport, le copier-coller de Touche pas à mon poste sur D8. Cyril Hanouna m'a appelé, m'a dit qu'il aimait bien ce que je faisais. Malheureusement, je ne peux pas en dire autant ! C'est pas du tout ma came. Gilles Verdez, c'est le dîner de cons, et Énora Malagré, c'est la vulgarité à l'extrême. Ça ne m'intéresse pas. J'ai besoin de bosser avec des gens que j'admire un peu", avait-il déclaré. Des déclarations qui n'ont pas plu à la star de D8, qui présente tous les soirs le talk-show à succès Touche pas à mon poste, et qui a souhaité prendre la défense de ses chroniqueurs, vivement attaqués par son collègue du groupe Canal+.

Ni l'un ni l'autre n'a cependant précisé si la plainte avait été maintenue par le plaignant, suite à cette mise au point.

Joachim Ohnona