En couple depuis 2014, deux ans après leur coup de foudre en direct sur le plateau du JT de France 2,Alice Taglioni et Laurent Delahousse vivent une relation sans nuages et forment une très grande famille recomposée. Si Laurent Delahousse était déjà papa de Liv-Helen et Sacha (fruits de son amour avec sa première épouse Florence Kieffer), Alice Taglioni était de son côté maman de Charlie, né en 2009 de son union avec Jocelyn Quivrin, mort la même année dans un accident de voiture. Ensemble, le couple a eu également une fille Swann née en 2016 et un fils Lino né en 2019.
Interviewée par Gala en 2021, Alice Taglioni avait révélé s'entendre à merveille avec ses belles-filles. Loin d'être la belle-mère marâtre qu'on voit souvent dans les contes Disney, l'actrice avait même révélé qu'elle considérait les filles de Laurent Delahousse comme ses propres enfants. "Trois que j'ai fabriquées et deux que j'aime comme mes propres filles. [...] J'ai une grande famille, tout ce que j'aime", avait-elle ainsi déclaré au magazine.
Évoquant également leur fille Swann auprès de nos confrères de Madame Figaro, Alice Taglioni avait révélé que sa fille cadette avait une véritable passion pour l'écologie et qu'elle lui remontait parfois les bretelles lorsqu'elle ne faisait pas correctement le tri dans leur maison. "Si je laisse couler l'eau un peu trop longtemps à la maison ou si je me trompe dans le tri sélectif, je me fais sermonner, avait-elle révélé. Une petite fille qui semble mener la famille à la baguette et qui a aussi exigé que ses parents n'achètent plus aucune bouteille en plastique.
Pour rappel, Alice Taglioni a sorti le 16 novembre 2023 son ouvrage Un papa vivant. Le pitch ? "Elliot fêtera ses sept ans dans une semaine. Sur une feuille de papier, il a rédigé une liste de cadeaux, au feutre : un déguisement de pirate, une montre pour apprendre à lire l'heure et un papa. Il sait que sa mère ne roule pas sur l'or mais il espère qu'elle pourra lui acheter tout ça. Après tout, un papa, ça ne doit pas coûter bien cher, puisque tout le monde en a un." Difficile de ne pas y voir un parallèle avec la mort de Jocelyn Quivrin.
"Sans me raconter, je voulais qu'on ressente l'effroi de cette jeune femme qui se retrouve face à la perte de son mari avec un tout petit bébé, et qui, en plus d'être confrontée à l'indicible, doit aussi affronter l'effroi de ses proches, les têtes baissées, les mots gênés...", avait-elle confié.