Sami Miró en couple avec Zac Efron : ''Nous deux, c'est forcément différent''

Il a longtemps fréquenté Vanessa Hudgens mais depuis plusieurs mois maintenant, le beau Zac Efron sort avec une certaine Sami Miró. À 27 ans, la jeune femme qui se présente comme mannequin et future blogueuse lifestyle n'a rien à envier à celle qui l'a précédée, la star de High School Musical. Diplômée d'un master de marketing, la jeune femme passionnée de yoga et de vêtements vintage s'est confiée pour la première fois sur sa relation avec l'acteur américain de 27 ans. L'occasion pour Sami Miró de mêler deux choses qu'elle adore : la mode et son nouvel amoureux.

"Avant, je n'ai jamais voulu parler de nous deux mais c'est forcément différent", a-t-elle expliqué au magazine Elle avant d'évoquer l'attention particulière dont Zac Efron fait l'objet sur les réseaux sociaux : "Je sais que c'est impossible de changer ça, alors je fais avec. Je n'essaie pas de cacher des choses de ma vie, si je fréquentais quelqu'un de moins célèbre, je posterais sûrement plus de photos de nous deux sur Instagram parce que je pense que c'est important. Je veux dire, c'est ma vie et les réseaux sociaux en font partie."

Si elle poste effectivement peu de clichés du couple sur Internet, en réalité, Sami Miró partage la vie et l'amour de Zac Efron. Et les deux sont inséparables ! Partageant la même passion pour la mode, ils ont pris l'habitude d'aller faire les boutiques ensemble et d'échanger leurs trouvailles. Le comble du bonheur pour la jeune femme élevée par un père célibataire. "En grandissant, je n'ai pas eu de référence féminine, je ne pouvais pas piquer les fringues de ma mère, a-t-elle raconté. Je n'avais que celles de mon père alors j'ai toujours porté des fringues de mec. Avec Zac, on passe notre temps à faire les boutiques ensemble et nos styles s'accordent. Je lui emprunte des T-shirts et des vestes qui me vont bien. On coordonne nos looks. Je pense que quand on sort avec quelqu'un... on commence à apprécier ce que l'autre aime, y compris les fringues."

Coline Chavaroche