Secret Story 7 : L'ascenseur de la maison... Une sacrée supercherie !

Ce devait être l'événement architectural de Secret Story 7 : l'ascenseur... Prouesse de technologie pour la Maison des Secrets qui a toujours plus ressemblé à une villa qu'à un immeuble. Analysons un peu ce bijou : en plus d'être extrêmement silencieux (à croire qu'il est en carton...), ce fameux ascenseur dispose de boutons numérotés de 0 à 7, les Secretistes habitant au rez-de-chaussée. Pourtant, la maison, lors des prises de vue aériennes, ne semble disposer d'aucun étage au-delà du rez-de-chaussée. Comme c'est étrange ! Mais passons les détails esthétiques...

En réalité, cet ascenseur n'est qu'un gadget que la production utilise pour donner l'illusion que la maison est plus spacieuse et regorge de plus de pièces mystérieuses qu'il n'y paraît. Ainsi, lorsque les habitants appuient sur un bouton, après une courte attente censée représenter le laps de temps pendant lequel l'ascenseur s'élève, la porte s'ouvre. Vous remarquerez que la porte qui s'ouvre n'est pas la même que celle qui se ferme sur les habitants quelques instants auparavant.

En réalité, l'ascenseur ne monte ni ne descend, il fait simplement office de sas, pour ouvrir ses portes sur la pièce de derrière, aménagée en conséquence selon le bouton choisi. Ainsi, le téléspectateur a l'illusion de découvrir une nouvelle pièce située à un étage différent. La plupart du temps, ils se rendent au sixième étage, bouton à enclencher quand la pièce aménagée derrière l'ascenseur est aux couleurs de l'octogone. Mais une question subsiste... Que renferment donc les "étages" 1, 2, 3, 4, 5 et 7 ?

Adrien Lemaître s'est d'ailleurs amusé de cette supercherie qu'incarne l'ascenseur lors de sa rubrique Mister Secret, vendredi 2 août (voir vidéo). Il s'amusait de constater que l'ascenseur mettait approximativement deux secondes pour se rendre... au sixième étage ! "Eh voilà, c'est fini !", plaisante alors le chroniqueur et co-présentateur de l'After Secret. Un clin d'oeil à ce secret bien gardé par la prod !

Joachim Ohnona