






Quand on est enfant de célébrités, tous milieux confondus, il n’est pas rare de suivre le même parcours que ses parents. S’il y a bien évidemment des exceptions à la règle, la majorité affirme que les chiens ne font pas des chats. Et récemment, Louis Sarkozy l’a prouvé. Le jeune homme de 27 ans, marié à Natali Husic, a même un plan bien rodé : celui de se lancer dans la politique, comme son célèbre père Nicolas Sarkozy, ancien président de la république.
Petit à petit, Louis Sarkozy s’est frayé un chemin dans le milieu. Après avoir écrit plusieurs ouvrages, dont Napoleon’s Library, The emperor, his books and their influence on the napoleonic era, il s’est fait une place à la télévision, invité dans les émissions de LCI notamment pour discuter de l’actualité politique. Une actualité politique dont il compte bien faire partie dans les prochaines années d’ailleurs.
Si pour l’heure, difficile de savoir exactement jusqu’où compte aller Louis Sarkozy, ce dernier ne semble avoir peur de rien. Et ce ne sont pas les détracteurs et les critiques qui le visent qui vont l’empêcher d’aller le plus loin possible. Fruit des amours entre Cécilia Attias et Nicolas Sarkozy, Louis Sarkozy a hérité de l’énergie et de la volonté de fer de ses célèbres parents.
Interrogé dans le Figaro de ce lundi 16 décembre, le fils de Nicolas Sarkozy a répondu aux nombreuses attaques qui affirment qu’il ne serait jamais arrivé à rien s’il ne portait pas le nom de famille à laquelle il appartient aujourd’hui. Et ça sera sûrement la première et dernière fois qu’il y fait allusion, lui qui veut prêter le moins d’attention possible à tout ce qui se dit sur le sujet.
Louis Sarkozy estime que peu importe le domaine dans lequel il souhaite se lancer, le monde aura toujours quelque chose à redire : “Quoi que je fasse, j’aurai le droit à ce procès. Si j’ouvrais une baraque à frites place de Clichy, on me ferait le même reproche. […] J’ai choisi, moi, de naître Sarkozy ? Que veux-tu que je fasse ? J’ai eu la chance de vivre dans des conditions privilégiées et j’en suis conscient. Ce n’est pas ça qui énerve les Français. Ce qui énerve les Français, c’est de mentir sur qui on est et ce que l’on pense.”
Loin de se laisser abattre par toutes ces mauvaises opinions sur lui, Louis Sarkozy a préféré opter pour une solution bien meilleure et sûrement plus productive : “Il faut assumer ce nom, utiliser ses avantages, minimiser ses inconvénients, et, si t’es bon, ça marche.” Plus qu’à patienter pour voir si cette technique lui réussira.